nom ⊱ Nakumura, le nom de famille de ma grand-mère puisqu'elle m'a élevé, il est donc très important pour moi. prénoms ⊱ Haru, ça signifie "Printemps" en japonais, oui je sais mes parents n'étaient pas vraiment inspirés, mais j'aime bien ce prénom. date de naissance et âge ⊱ Née le 21 mars 1989, j'ai 24 ans et toutes mes dents ! lieu de naissance ⊱ Je suis née à Kyoto au Japon. nationalité ⊱ Japonaise et fière de l'être origine(s) ⊱ Japonaise statut et orientation sexuelle ⊱ Célibataire et hétérosexuelle situation sociale ⊱ Je ne suis ni riche ni pauvre ; ni à plaindre ni à envier. emploi et/ou études ⊱ Je n'ai pas vraiment d'emploi, je vis de ma musique comme une vraie artiste. Je compose et interprète quelques fois pour pouvoir me nourrir et payer mon loyer. Niveau étude, j'ai directement arrêté après mon diplôme pour me consacrer uniquement à la musique. traits de caractère ⊱ Artiste - Ambitieux - Énergique - Mature - Passionné - Sensible - Renfermée - elle se dit Forte mais elle est plus Fragile qu'elle ne le pense.
particularités, manies et autres ⊱ C'est une jeune femme qui n'aime pas se rapprocher des autres et qui n'accorde pas sa confiance facilement, elle est devenue comme ça suite à son passé. Elle s'est créée une carapace pour se protéger et ne plus souffrir, elle cache ses émotions et se donne de faux aires pour ne laisser personne l'approcher. La seule personne avec qui elle reste authentique est Zen son meilleur ami.Elle se balade toujours avec sa guitare, son cahier pour composer et son appareil photo. Elle trouve son inspiration dans tous les endroits où elle passe, elle aime aussi prendre des photos de toutes les choses qu'elle trouve intéressantes comme par exemple la figurine hippopotame que Zen lui a acheté pour son anniversaire, elle le garde toujours sur elle et le prend même en photo n'importe où, ce qui l'a fait souvent passer pour une folle.Elle a une manie qui l'énerve, elle se ronge les ongles. Elle a beau essayer d'arrête elle n'y arrive pas ce qui l'agace fortement.
❝ EVERYTHING WILL CHANGE. NOTHIN' STAYS THE SAME. ❞
depuis combien de temps habitez-vous à new-york et que représente-elle ? ⊱ J'habite à New York avec Zen depuis maintenant deux ans. Cette ville représente les réponses à toutes mes questions, celle qui me torture depuis que j'ai tout découvert au sujet de l'abandon de ma mère. Des réponses que parfois je n'aurais préférée jamais connaître. Cependant, maintenant que j'ai toutes ces réponses je ne peux pas me contenter plus longtemps d'être spectatrice de ma vie, je dois prendre les choses en main et arrêter de subir. Alors, voilà j'ai posé, nous avons posés nos valises à New York. Pour un nouveau départ... pour oublier le passé et enfin connaître toute la vérité...
quel est le plus beau souvenir et regret de votre vie ? ⊱ Dans ma vie j'ai eu deux périodes magnifiques et que je ne remplacerais pour rien au monde. La première correspond à mon enfance des plus heureuse avec ma grand-mère, à l'époque la vie me semblais tellement simple, juste joyeuse, je ne manquais de rien et j'avais tout ce que l'on pouvait rêver : Une grand-mère aimante et gentille ainsi qu'un foyer des plus accueillant. L'autre renvoie à mes premières années à l'orphelinat, ma seconde famille, l'endroit où j'ai rencontré Natsu et Zen, les deux personnes qui compte le plus pour moi, là où j'ai aussi enfin reprit goût à la vie, où j'ai pu m'épanouir et enfin me reconstruire. En ce qui concerne les regrets j'en ai pas mal... Le premier est la mort de ma grand-mère, le jour où tout mon monde s'est écroulé où je me suis sentis si seule et perdue. Le second est le jour où je n'ai pas pus retenir Natsu... je m'en veux, et je m'en voudrais toujours, je voudrais tellement qu'il ne soit jamais parti qu'il ne m'ai pas abandonnée, j'aurais voulus avoir la force de le retenir mais j'ai juste échoué lamentablement. Le dernier grand regret de ma vie il le fait d'en avoir toujours voulus à ma mère pour m'avoir abandonné. A cette époque je ne savais rien de l'histoire, si seulement j'avais su plus tôt je n'aurais jamais dit toutes ces horreurs à son sujet.
Comment définiriez vous vos liens avec vos proches ainsi que vos amis ? ⊱ Ma famille... je n'ai pas grand-chose à dire, une mère qui m'a abandonné, une grand-mère décédée et un père inconnu. Autant dire que je n'ai pas de famille pour le moment. La seule personne qui est toujours là pour moi est Zen. Il est bien plus que mon meilleur ami, c'est mon grand-frère et mon confident, je ne peux même pas imaginer ma vie sans lui. Si je ne l'avais pas rencontré qui sait où je serais en ce moment... C'est la seule personne en qui j'ai confiance, le seul avec qui je reste vraie, le seul qui sait me faire sourire et rire. Je lui serais toujours reconnaissante pour tout ce qu'il a fait pour moi et pour avoir été là pour moi, même dans les moments les plus dur de ma vie.
célébrité ⊱ Yui Yoshioka pseudo/prénom et âge ⊱ Christelle, 16 ans groupe ⊱ faites votre choix présence sur le forum ⊱ Forget your dream, 7/7 si j'ai le temps ou avez-vous connu TFB ? ⊱ Ma soeur m'en a parlé , et un beau jour je lui ai raconté l'histoire de mon personnage et elle a insisté pour que je le joue sur ce forum, et voilà comment j'ai atterris ici ! avez-vous pris un scénario ou un prédéfinis ? ⊱ Ce personnage sort de ma petite tête, je l'ai imaginé et créé possédez-vous d'autres comptes sur le forum ? ⊱ Non, je n'ai qu'Haru code du règlement ⊱ it doesn't matter if you're right, i'm what i am commentaires ⊱ C'est la première fois que je fais ça donc c'est un peu le grand saut !
Petit il y a toujours quelque chose qui nous fascine, dans mon cas il s'agissait du cerisier de notre jardin. Le jardin si bien entretenu de ma grand-mère. J'aurais pu passer des heures dans cet endroit merveilleux à admirer les pétales roses virevolter au grès du vent pour finir leur course folle sur le sol créant un parterre donnant à ce lieu une touche de magie. Spectacle sublime, fascinant dont je ne suis toujours pas capable de me lasser étant trop admirative de ce tableau propre au printemps, qu'on attend impatiemment le reste de l'année et qui pourtant nous frappe toujours autant de sa beauté éphémère. Assise sous l'arbre, les mains en l'air dans l'espoir de pouvoir capter ne serais-ce qu'un petit bout de temps afin d'être capable de vivre cet instant plus longtemps. « Haru » dit une voix familière venant m'extirper de mes rêveries « Tu es encore sous le cerisier. C'est beau n'est-ce pas ? » Elle était alors là, face à moi. Ce sourire que j'aimais tant, cette gentillesse débordante qui chaque jour un peu plus me remplissait de bonheur et d'amour. Cette femme si courageuse qui depuis qu'elle m'avait pris avec elle, avait décidé de tout me donner sans jamais manifester la moindre hésitation ou le moindre regret. « Grand-mère ! Tu as raison, j'aime vraiment cet arbre » une vérité bien connu, une phrase qu'elle avait déjà entendu des bonnes centaines de fois et pourtant toujours ce même regard remplie d'affection se posait sur moi. De l'affection mais, aussi une pointe de mélancolie qu'à l'époque je n'étais pas capable de comprendre... « Ta mère aussi l'adorais à ton âge. » Ma mère une femme dont je ne savais finalement rien si ce n'est la tristesse qu'elle provoquait chez ma grand-mère à chaque fois que cette dernière la mentionnait. Alors évidemment, je ne pouvais m'empêcher d'afficher une mine triste lorsque je pouvais sentir chez elle cette peine que je n'étais pas capable de combler en ignorant finalement toutes les raisons. Comme à chaque fois alors elle changeait vite de sujet. « Aller prépare toi, on va au festival ! » Une phrase qui en un clin d'œil effaça le malaise s'étant installé plutôt et qui fit apparaître un énorme sourire sur mes lèvres et un air enjouée qui la fit rire. « Allons te mettre un beau yukata ! ». Plus tard nous nous sommes dirigées vers le temple pour assister au festival. A notre arrivé je fus stupéfaite devant le nombre de personnes sous les cerisiers, en train de partager un repas, de toutes ces lumières donnant un aspect si magique et tous ces petits stands si bien décoré. « Allez viens on va aller pêcher des poissons » sur ces mots je fonçais vers le fameux stand telle une folle. Je repartis toute contente avec mon nouveau poisson un énorme sourire aux lèvres. « Alors, comment vas-tu l'appeler ? » me demanda ma grand-mère avec un sourire « Euh.... GOZILLA ! » dis-je avec plein d'étoiles dans les yeux ; ma grand-mère me regarda avec des gros yeux avant d'exploser de rire puis me dit « Ce n'est pas très approprié pour un poisson. Pourquoi pas un nom plus jolie comme... Sakura ? » « OUAIS ! C'est plus mignon ! » dis-je en lui sautant dans les bras. « Bon alors se sera Sakura. Maintenant nous devons aller vers le lieu du feu d'artifice pour avoir une bonne place » me dit-elle en me faisant un clin d'œil « OUI dépêchons nous ! » criais-je enjoué.
Quelque année plus tard, lorsque j'étais âgée de 14 ans, je vivais mon train-train habituel avec ma fabuleuse grand-mère avec qui je vivais toujours la même relation fusionnel.J'étais une jeune collégienne fan de musique, qui avait une vie sociale bien remplie, bref une vie de collégienne comme les autres. Aujourd'hui nous sommes un jour très spécial ; nous sommes le 21 mars 2003, mon anniversaire ,14 ans ou encore l'âge con, le début des conneries et des premiers amours. « Bon aller moi j'y vais ma grand-mère m'attend ! A demain ! » Oui car ce matin grand-mère m'avais dit de rentrer rapidement du lycée pour que l'on puisse le fêter dignement et je ne pouvais plus attendre plus longtemps d'avoir enfin mon cadeau, je sais c'est un peu gamin mais j'y peux rien je suis comme ça. Arrivé enfin devant la maison j'ouvre la porte pour trouver ma grand-mère avec un gâteau dans les mains en train de me chanter Joyeux anniversaire. Je soufflai mes bougies sous ses applaudissements « Ah...ma petite fille grandie encore, bientôt elle sera un petit bout de femme » dit-elle avec des larmes dût à l'émotion, en voyant cela je ne pus m'empêcher de pleurer à mon tour en la prenant dans mes bras « C'est normal et ne t'inquiète pas je resterais toujours ton petit bébé » face à cette remarque elle me fit un sourire et un petit bisou « Que ferais-je sans toi hein ? » me dit-elle avec un sourire triste « Je te retourne la question » je vis de la tristesse dans ses yeux, comme une pointe de remord que je ne comprenais pas, je décidai de laisser cette impression si bizarre... Après s'être remis de nos émotions nous sommes passées à table ou j'ai encore trop mangé, en même temps comment peut-on résisté à la bonne cuisine de grand-mère ? « Ah mais j'y pense je ne t'ai pas encore donné ton cadeau » à l'entente de ce mot j'affichais un énorme sourire et je la suppliais pour l'ouvrir ce qui la fit rire « Là-dessus tu n'as pas changé d'un seul poil on dirait un chien qui attend son os ! » « Et mamie c'est vexant là » dis-je en faisant une moue boudeuse « Mais tu sais bien que je rigole ma chérie ! Tient le voilà ton cadeau » elle me tendit un cadeau qui me parue gigantesque, je m'empressais de l'ouvrir et j'y découvris une guitare. Je sautais sur ma grand-mère en l'embrassant et en la remerciant, car oui c'était juste le cadeau parfait. Cela faisait un bon moment que j'en désirai une, la passionné de musique que je rêvais de devenir une compositrice et quoi de mieux que démarrer avec une guitare ! « MERCI MAMIE C'EST JUSTE PARFAIT ! TU ES LA MEILLEURE ! » « Mais de rien ma puce, je le fais avec un grand plaisir » elle me fit un magnifique sourire que je lui rendis « Tu seras la première personne à m'entendre jouer je te le promets ! » « J'attends ça avec impatience ! ». A cette époque je ne savais pas qu'en un instant toute ma vie allait basculer…
Nous sommes le 02 avril 2004, ce fameux jour... Ma journée avait bien démarré, c'était une journée des plus banal une journée de cours quoi. A 17h je saluais mes amies et pris le chemin vers la maison. J'étais toute contente ce matin grand-mère m'avait dit qu'on préparera mon repas préféré ensemble, une chose que j'adorais faire depuis ma plus tendre enfance, cela me permettais de passer encore plus de bons moments avec elle. Arrivé à l'intérieur je rentrai en criant comme à mon habitude « Je suis rentrée ! » J'attendais la phrase qui semble si insignifiante pour certaine personne mais, si importante pour moi. Mais bizarrement à la place de ma grand-mère qui me disait « Bon retour » avec un énorme sourire qui vous comble de bonheur, je me retrouvai face à un lourd silence. « Tiens elle est sortie faire les courses ? » je me dirigeai donc vers la cuisine pour aller me chercher un truc à manger, mais lorsque je vis les sacs de courses sur le plan de travail je me demandais bien ce qu'elle pouvait faire. A vrai dire ma grand-mère n'as personne à par moi, donc ou pouvait-elle être ? Je sortis mon portable pour l'appeler quelque peu inquiète. Mais lorsque que je composai le numéro j'attendis son portable dans le salon, à cet instant j'entrai dans la pièce en disant « Tu sais mamie tu pourrais me répondre si tu étais là et.... » Je ne pus finir ma phrase tellement j'étais sous le choc, face à moi il y avait ma grand-mère allongée inerte sur le sol. Je me précipitai vers elle les larmes dévalant sur mon visage, je vérifiai si elle respirait encore les mains tremblantes. Mais je ne trouvai aucun pouls... « Grand-mère je t'en prie répond moi ! » je la secoué dans tous les sens en espérant même un souffle, un bruit n'importe quoi pour me prouvais qu'elle était toujours là. Je ne savais pas quoi faire, d'habitude c'était elle qui m'aidait me conseillait, m'épaulait... Je sortis mon téléphone et tapa avec difficulté dû à tous mes tremblements le numéro des pompiers lorsque j'en avais enfin un au bout du fil je ne pus qu'essayer des sortir quelques phrases entre tous les sanglots que je ne pouvais plus arrêter... J'étais là au milieu de toute cette agitation les yeux dans le vide, ne pensant plus à rien à par cette phrase que je ne pouvais accepter « Désolé mais elle est morte, nous n'avons rien peut faire. » j'étais assise par terre dans le couloir de l'hôpital devant la porte de la morgue. Je ne sais même pas depuis combien de temps je suis, pour moi le temps c'est arrêté au moment où je l'ai aperçus sur le sol. Je ne voyais même plus, je ne ressentais plus rien, comme si j'étais partie avec elle... Sans même savoir quand, des infirmières m'avait conduit dans le bureau du docteur de ma grand-mère, on me fit m'asseoir puis il me dit : « Je vous présente toutes mes condoléances votre grand-mère était une femme bien » une femme bien... elle était même plus que ça, bien ne serais même pas au niveau, même des mots ne pourraient pas définir l'être exceptionnel qu'elle était. « Votre grand-mère m'a parlé de votre situation » l'entendre me dire ça me rappelai que j'étais seule vraiment seule, plus personne n'était là pour moi, elle était ma seule famille, tout mon monde tournai autour d'elle. « Je veux que vous sachiez que votre grand-mère était malade et qu'elle se savait condamnée » Pour la première fois depuis que j'étais ici, je relevai la tête et regardé le docteur dans les yeux. « Depuis ... combien de temps » je ne pus que murmurer ces mots tellement ma voix était faible. Le docteur me fit un visage triste et compatissant « Depuis six mois » là je ne comprenais pas, depuis six mois elle était malade et moi je n'avais rien vue. Comment est-ce possible... je la connaissais par cœur, son comportement n'avait même pas changé, j'étais complètement perdu. Je m'en voulais tellement de n'avoir rien vue, de ne pas l'avoir soutenue dans cette épreuve, de ne pas avoir étais là pour elle dans ses derniers instants. « Je veux que vous sachiez qu'elle n'a pas voulu vous le dire de peur de vous inquiéter » je la reconnaissais bien toujours à me faire passer avant elle, mais pourquoi n'avait-elle pas put penser à elle pour une fois seulement une fois et peut-être qu'elle serait encore avec moi ! « En sachant que sa fin était proche, elle m'a fait part qu'une personne allait venir vous chercher pour vous amener dans un orphelinat, cette personne est en train de régler les papiers en ce moment, vous pourrez la retrouver à l'accueil. » Elle avait tout prévu alors, tout... mais alors pourquoi n'a-t-elle rien dit bon sang ! Je me dirigeai donc vers la sortie sans un mot. Arrivé à l'accueil je vis une dame qui se retourna vers moi une urne dans la main, à la vue de cet objet je m'enfuis de l'hôpital, ne voulant pas accepter cette fatalité.
Je marchais sans même savoir ou allais, moi une orpheline avec une mère qui m'a abandonné et maintenant une grand-mère morte ... là ça faisait trop, à quoi bon se battre face à un destin aussi cruel. Sans m'en rendre compte mes pas m'avais guidé vers la maison. Cette maison rien qu'à ça vue mon cœur saignait, mais je n'avais pas d'autre endroit où aller. Je me dirigeai vers la porte, j'hésitai à y mettre ma clé ; dans ma tête tout ça n'était qu'un cauchemar j'allais me réveiller et elle serait la quand j'ouvrirai la porte avec un énorme sourire me souhaitant la bienvenue. Je mis ma main sur la poignée et ouvrit la porte. Mais face à moi juste une entrée plongé dans le noir et un silence qui me montrais à quel point la réalité était injuste. Je pénétrais dans la cuisine où il y avait encore les courses je regardais dans le sac et même les aliments que j'adorais manger me donner maintenant juste envie de vomir. Mon regard se tourna vers le salon mais je revoyais toute la scène, mes cris, mes larmes, son visage pâle... tout cela me donner envie de tout casser, de hurler ma peine, d'arrêter de me battre. Ne supportant plus la vue de cette maison habituellement si chaleureuse qui me paraissais lugubre et monstrueuse je fonçai vers le jardin et me mis sous mon cerisier. Même lui me semblait horrible, même ces pétales qui me paraissaient si beau me donner juste envie de pleurer. A cet instant je compris qu'elle était bien parti, que jamais je n'entendrais plus sa voix si douce, je ne ressentirais plus la chaleur qu'elle dégageait lorsqu'elle me prenait dans ses bras, à la place il n'y avait plus rien ... Je ne pus retenir mes larmes plus longtemps, j'étais prise de spasmes, tous mes membres trembler, mes larmes couler comme si jamais elle ne s'arrêterait, je me sentais si seule tellement abandonné. Prise dans les sanglots je ne vis pas une personne arrivait derrière moi, mais lorsqu'elle mit sa main sur mon épaule je me retournais le visage plein de larmes « Ta grand-mère m'avait dit que tu adorais cet arbre » j'étais face à la dame que j'avais vue à l'accueil, elle me fit un sourire triste et sécha toutes mes larmes « Tu sais, je ne pense pas qu'elle voudrait te voir dans cet état » c'est vrai qu'elle m'aurait tué, elle détesté voir ne serai-ce qu'une seule larme sur mes joues « Je suis Nina, une amie de ta grand-mère, c'est à moi qu'elle t'a confié. » je fis simplement un oui avec ma tête « Tu vas me suivra dans mon orphelinat, là-bas tu auras ta propre chambre et une nouvelle école, mais ne t'inquiète pas tu ne sauras pas adopté ou quoi que ce soit, voit plutôt ça comme un nouveau foyer jusqu'à ta majorité » un nouveau foyer de toute manière plus rien ne me retiens ici alors ici ou ailleurs je ne vois pas la différence. « Ta grand-mère t’a laisser la maison et tout son contenue que tu auras à tes 20 ans, jusque-là elle restera vide » « Ça me va » dis-je avec une petite voix, de toute manière jamais je ne pourrais me séparer de cette maison, elle représentait toute mon enfance, tous les souvenirs et les bons moments que j'ai passés avec grand-mère. « Je sais que c'est dur de te le dire aussi tôt mais j'aimerais que l'on parte demain soir, ne t'inquiète pas j'ai tout réglé. » « Non ça va aller, mais juste s'il vous plaît je pourrais vous demander un service ? » elle me regarda et me sourit « Bien sûr et pas de vous entre nous d'accord » je lui souris « je voudrais demain avant de partir jeter les cendres de ma grand-mère... » elle me mit une main réconfortante sur l'épaule et hocha simplement la tête. « Nous ferons ça demain là il est tard allée rentrons ».
Cette nuit-là me paraissais tellement longue, cette maison si vide, si silencieuse, elle me paraissait même infamiliaire, comme si elle avait changé, je m'y sentais étrangère comme si je n'y avait plus ma place. Je n'arrivais pas à dormir, je ne faisais que recasé les événements de la journée et je sentais déjà les larmes remontées, je décidais donc de prendre de l'avance pour demain en rangeant mes affaires dans les cartons. Mais ce n'était pas une si brillante idée, car chaque objet me faisait penser à elle. A cet instant je vis ma guitare, je me souviens alors de cette impression si étrange à mon anniversaire. Alors elle était déjà malade à ce moment-là ... si seulement je l'avais sus, si seulement j'étais rentré plus tôt, elle serait encore là. Elle n'aurait pas dû mourir ! Elle m'avait promis d'être la première a écouté ma chanson, elle et personne d'autre... Sur mon bureau se trouvait une photo d'elle et moi avec un grand sourire en la regardant je ne pus retenir une larme de couler, alors je prie simplement cette photo est la sera contre moi, je m'endormis trop épuisé par tous ces événements avec la photo calé dans mes bras. Le lendemain vers 16h les déménageurs sont arrivés, ils ont mis des tissus sur tous les meubles, transporté les affaires que j'emmenais avec moi dans le camion. Peu à peu la maison se vidait et les déménageurs partir chacun leurs tours me laissant seule dans cette maison qui me paraissais si vide. J'étais là au milieu du salon, planté dans le sol, je me répétais que c'était terminé qu'elle n'était plus là, que plus jamais les choses seraient comme avant. Nina m'avais dit qu'elle viendrait me chercher à 18h pour me laisser seule pour pouvoir réfléchir et dispersé les cendres de ma grand-mère ... J'attendais 17h30 et je pris son urne et me diriger vers l'endroit qu'elle aimé le plus. Je savais exactement où elle allait reposer pour l'éternité. Cet endroit était de loin notre préféré à toutes les deux. J'arrivais enfin à destination, c'était le cerisier. Je m'assis sur le banc en dessous et commença à parler comme si elle m'écoutait « Mamie... Tu as vu on est sous le cerisier au moment de la journée que tu préférais, le coucher de soleil qui éclaire la ville d'un magnifique voile rouge, je sais que tu aimais ce paysage plus que tout, alors du pourras l'admiré pour l'éternité. Mamie... je suis désolé de n'avoir rien remarqué ...Je suis désolé de ne pas avoir étais là plus tôt, je suis désolé... » je ne pus retenir mes larmes « Mais sache que tu me manques déjà, j'ai peur... je ne veux pas être seule, la solitude est le pire des sentiments. Mais je te promets de devenir forte, de ne plus pleuré, de ne pas me laisser aller... Alors c'est bon.... plus la peine de t'inquiéter pour moi... s'il te plaît repose en paix. Je t'aime et je t'aimerais toujours... » sur ces derniers mots j'ouvrais l'urne est dispersa les cendres de ma grand-mère avec un petit sourire malgré mes larmes. Je restais là jusqu'à ce que Nina vienne me chercher, à admiré ce paysage que je ne reverrai pas avant un long moment. Lorsque que se fut enfin le moment de monter dans la voiture je ne pus m'empêcher de me retourner pour regarder une dernière fois notre maison, comme pour la gravé à jamais dans ma mémoire... c'était comme si le temps s'arrêter jusqu'à mon futur retour.
Dernière édition par Haru Nakumura le Mar 12 Mar - 14:56, édité 7 fois
Cela faisait bientôt une semaine que j'étais arrivé dans cet orphelinat, je m'étais bien installé, ma chambre était plutôt confortable, à vrai dire je n'avais pas amené grand-chose de mon ancienne chambre, seulement la photo et ma guitare. En parlant de ma guitare je n'arrivais plus à écrire ne serait-ce qu'une note, je n'ai plus l'envie ni l'inspiration...à chaque fois que j'essayais de jouer je pensais à cette promesse, que j'avais faits à ma grand-mère, mais qui est maintenant impossible à tenir. Alors, petit à petit je laisse la musique de côté. Je me dirige vers la fenêtre pour voir la vue sur l'orphelinat. L'orphelinat est constitué d'un grand bâtiment blanc, composés du dortoir et du réfectoire, plus loin il y a la cour et le bâtiment le plus au fond est l'école. En parlant de l'école je vais commencer demain, je m'en fiche à vrai dire. Je n'ai pas quitté ma chambre depuis mon arrivée, je ne vais même pas au réfectoire, je n'en avais pas envie, du coup Nina m'apportait ma nourriture. Je ne ressentais pas le besoin de me faire des amis, j'avais juste le sentiment qu'à chaque fois que je me rapprochais de quelqu'un, il allait m'abandonnait ou encore pire... je refusais d'avoir aussi mal encore une fois et le seul moyen étais de fermer mon cœur aux autres pour ne plus être blessé. C'est sur ces pensées que je m'endormais paisiblement. Le lendemain matin, je mis mon uniforme de collégienne qui m'allait comme un gant, je me préparais et mis toutes mes affaires dans mon sac avant de quitter ma chambre et de me diriger vers le collège. Arrivé dans la salle je devais me présenter, mais je n'avais vraiment pas envie de dévoilais ma vie à des inconnus « Haru Nakumura, 15 ans. » je détestais tous ces regards qui me fixés, qui essayaient de me comprendre et encore plus tous ces chuchotements à mon égard. Sans même laisser le temps au professeur de parler, je partais m'asseoir à la place libre vers le fond près de la fenêtre. A peine m'étais-je assise qu'un garçon commençait déjà à me parler « Alors Haru c'est bien ça ? » il était idiot ou quoi, il ne l'avait pas entendu plus tôt peut-être. Je me contentais juste de l'ignorais « Pas très bavarde à ce que je vois » me dit-il en rigolant « Mais j'aime ce côté non chaland, moi c'est Natsu » je le regardais enfin et je devais avouer qu'il était pas mal. Mais j'avais pris la résolution de ne parler à personne alors je vais vite lui faire comprendre « Qu'est-ce que tu veux ? Devenir mon ami désolé mais j'en ai pas besoin, alors arrête de me fixait et va voir ailleurs si j'y suis ! » il me fit un sourire joueur et me dit « En plus elle griffe, une vraie tigresse. Tu sais que tu es très intéressante » tigresse ? Non mais il se prend pour qui ? « Et toi super chiant » cette phrase le fit encore plus rire « Et encore tu n'as rien vu Tigresse » je levais les yeux au ciel « Tu peux arrêter avec ton surnom pourrie et par la même occasion ne plus me calculer » disais-je exaspéré « Mais arrête il te va super bien et j'ai déjà décidé qu'on aller bien s'entendre » alors monsieur décide de tout et tout seul en plus, non mais il se prend pour quoi un roi ? « Oh parce que tu crois que je vais te laisser faire ce que tu veux avec moi ? » son sourire s'élargissait encore « Tu veux parier ? » me dit-il avec un ton de défi, je le regardais avec un air joueuse et lui dis « Ok si tu veux, mais on parie quoi ? » il me fit aussi un sourire amusé « Si je gagne tu seras mon ami. Et toi tu veux quoi ? » « Que tu me laisses tranquille » on se tapait dans les mains et le pari était maintenant lancé.
Cela faisait déjà deux mois que depuis ce parie, deux mois où Natsu n'arrêtait pas de me parler et même de me suivre, à force je fus contrainte d'avouer ma défaite, avec un Natsu plus content que jamais. Depuis ce jour je traînais avec lui, c'est comme il le disait si bien, il était mon pote. « Yo Tigresse » me disait-il en s'asseyant, je lui souris « Salut Natsu et pour la millième fois arrête avec ce surnom débile ! » il rigolait comme à chaque fois que lui faisais la remarque « Ça te dit de manger avec Zen et moi ce midi sur le toit ? » Zen est le meilleur ami de Natsu, c'est un garçon très calme tout le contraire de son ami, il est très gentil et je devais l'avoue je m'entendais très bien avec lui, j'ai trouvé un grand-frère, un confident « Avec Zen ça ne me dérange pas, mais toi... » disais-je en faisant une grimace, il me regardait avec un visage ahurie « Tu n'es pas sérieuse ! On est potes tous les trois non ? » j'explosais de rire face à sa tête dépité « Mais oui, je rigole! Bon c'est d'accord » il me fit un grand sourire et le cours débutait. Vers midi et demi on se dirigea sur le toit pour manger tranquillement, là-bas nous retrouvions Zen en train de nous attendre « Vous étiez long sérieux ! » se plaignait il à chaque fois « Désolé mon Zenounet ! » disais-je en lui fonçant dessus, il me regarda et me sourit « Il faudrait que tu arrêtes de traîné avec Natsu il détint sur toi » me dit-il avec une mine désolé « Tu as raison je vais l'éviter maintenant » le principal concerné était bouche bée « Non mais ça va vous deux ! Quand on vous écoute j'ai l'air d'un fou doublé d'un idiot ! » « Mais qui a dit que tu ne l'était pas » disais-je avec Zen mort de rire à côté « Vous êtes méchant je vous parle plus ! » disait-il en boudant comme un gamin « Mais allé Nat' on rigole, vient on va manger, si tu veux je te donne même mon kinder pour me faire pardonné » à l'entente du mot kinder ses yeux étaient pleins d'étoiles je ne pus m'empêcher d'explosé de rire et de lui dire « Allé vient à maman elle va te donner le bon nonos » Zen se tordait de rire « OH ! Je te déteste ! » me fit il en faisant une mine outragé « Aller on arrête promis donc vient ! » il m'ignorait, je roulais les yeux « Si tu viens je te fais un câlin ? » il me répondait au tac au tac « Pas assez intéressant » je réfléchissais « Un câlin et un bisou ? » « Toujours pas ! » en m'énervant « Alors tu veux quoi ! » il se retourna et me dit avec un sourire qui ne m'inspirait pas confiance du tout « Toi » cela ne me faisait rien j'avais tellement l'habitude de ce genre de blague « Tu peux toujours rêver, crève la dalle tout seul dans ton coin ! ». Sur ces mots je mangeais tranquillement avec Zen en discutant de tout et de rien, un peu plus tard Natsu nous rejoignait. A la fin des cours nous avions décidé d'aller passer la soirée dans ma chambre. Je m'énervais après Natsu qui touchait à tout comme d'habitude « Allé repose ça et prend exemple sur Zen » Zen était simplement assit en train de nous regarder comme s'il assisté à un spectacle « Bon je vais chercher des boissons, Nat' tu touches à R.I.E.N » disais-je avec une voix menaçante « C'est bon j'ai compris » disait-il en soupirant. Je sortais toute fière de moi, avoir fait obéir Natsu relevé du miracle. En retournant vers ma chambre j'entendais un son très familier, j'ouvrais la porte et je trouvais Natsu en train de jouer avec ma guitare. Je laissais tomber les boissons sans le vouloir et lui cria « REPOSE CA ! » Zen et Natsu le regardèrent avec un air d'incompréhension « Pourquoi tu t'énerve comme ça ? Tu aurais dû nous le dire que tu avais une guitare, tu voudrais bien nous jouer un morceau ? » à ses mots je lui arrachais la guitare des mains la posé sur mon lit. Joué ... cela faisait des mois que j'en étais incapable, je ne supporter même plus la vue de ma guitare elle me faisait trop pensé au passé. « Pourquoi a-t-il fallut que tu la sorte ... » « Pourquoi je n'aurais pas dû, tu sais qu'une guitare ça sert à jouer ? » Arrête... ne me rappelle pas que j'en suis incapable « Tu ne sais rien alors tais toi... » disais-je avec une voix sèche « En même temps qui ne nous dit rien, qui garde tout pour elle ! » Arrête... « On est tes amis non alors pourquoi tu ne nous dis jamais rien, pourquoi on ne peut rien savoir sur ton passé ! » là s'en fut trop, ma voix sortit d'elle-même « ARRÊTE ! TU VEUX SAVOIR QUOI HEIN ! POURQUOI JE SUIS LA ! SI C'EST ÇA MA GRAND-MÈRE EST MORTE, ELLE ÉTAIT MA SEULE FAMILLE ET MAINTENANT JE SUIS SEULE ! JE NE VEUX PAS EN PARLER CAR C'EST TROP DUR ÇA ME FAIT TROP MAL ! CETTE GUITARE C'EST CELLE QU'ELLE M'A ACHETER POUR MON ANNIVERSAIRE ET OUI JE NE SUIS PLUS CAPABLE DE JOUER DEPUIS QU'ELLE EST MORTE : ALORS VOILA CONTENT MAINTENANT ! » j'avais crié cela en larmes je ne voulais pas en parler pour ne pas avoir à ressassé encore le passé. Je sentis quatre bras, je relevais la tête pour voir Natsu et Zen qui me serrer dans leurs bras «C'est bon ça va mieux maintenant ? » me disais Nat' en souriant, je hochais simplement la tête « Tu sais on est tous dans le même cas ici, alors en parler nous fait du bien » me disais Zen en souriant « Et en plus maintenant tu n'es plus seule, tu nous a nous ! » Je les serrer encore plus fort et leur chuchota simplement un « Merci...merci d'être là pour moi » « C'est normal. » Depuis ce jour je me remis à jouer petit à petit de la guitare avec l'aide de Natsu et le soutien de Zen, l'inspiration me revenait et je reprenais peu à peu goût à la musique.
Cela faisait maintenant un an que j'avais intégré l'orphelinat, j'étais âgée de 16 ans. Je devais avouer que j'adorais vraiment cet endroit, j'avais l'impression de trouver une nouvelle famille, je m'étais ouverte aux autres, petit à petit et j'avais fini par m'entendre avec tout le monde. Tout cela avait été possible grâce à Zen et Natsu, ils m'avaient fait comprendre que je n'étais pas la seule à avoir vécu et ressentis la solitude. En parlant d'eux, avec l'aide de Natsu je mettais suis remis à jouer et composé de la musique, ça m'avais fait un bien fou d'enfin pouvoir recommencer à réaliser mon rêve d'enfant. Nous passions toutes les soirées dans ma chambre à jouer et à chanter ce qui resserrait encore plus nos liens d'amitié. C'était vraiment ma bande de potes, non pas seulement potes ils représentaient plus à mes yeux, ils étaient mon soutien dans les moments difficiles, ma force pour me relever à chaque fois...nous formions une vraie petite famille. Avec Zen comme grand-frère sur protecteur, ne voulant jamais laisser une personne nous blesser toujours à l'écoute et à nous sermonné à chaque nouvelle connerie. Puis il y avait Natsu... un grand gamin, qui change d'attitude en deux secondes, sois un coup sérieux ou encore en train de me tester comme à son habitude depuis notre rencontre. A vrai dire je ne savais pas... mais depuis l'incident dans la chambre je m'étais beaucoup rapproché de lui, j'adorais voir sa petite bouille tous les jours, je ressentais le besoin d'être près de lui... Et oui cela fait maintenant un mois que je m'étais rendu compte que je l'aimais. J'en avais parlé avec Zen qui m'avait juste sourit et conseillé de lui dire, je l'avais regardé bouche-bée, alors la jamais ! J'avais trop peur de sa réaction, si jamais cela devait changer notre amitié je sais que je n'arriverais pas à le supporté... Alors à la place j'agissais comme à mon habitude en essayant de refoulé tous ses sentiments, je devais avouer que c'était un échec, plus je passais du temps avec lui, plus mes sentiments grandissais, j'avais l'impression de n'être plus maître de rien, de ne rien pouvoir faire contre cela. Un jour alors que l'on était tous les deux dans ma chambre comme à notre habitude, oui tous les deux ... Zen sale traître je t'avais dit de ne jamais me laisser seul avec lui ! Non mais d'un seul coup t'a un devoir, tu fichais de moi ouais ! Dans la chambre régnait un silence, ce qui était assez bizarre vu le bruit qu'il y avait d'habitude. « Haru... » je sortais de mes pensées pour lever les yeux vers lui « Tu n'agis pas un peu bizarrement en ce moment ? » oh non il l'avait remarqué ! Je suis fini, vite trouve un truc à dire... « Je ne vois pas de quoi tu parles » il me regardait maintenant dans les yeux. Ses yeux si perçant, j'avais l'impression qu'il pouvait lire en moi comme dans un livre ouvert. Je tentais bien de soutenir son regard mais, je n'y parvenais pas alors je tournais la tête, les joues légèrement rouge « Dis... tu ne serais pas amoureuse de moi ? » à cet instant j'écarquillais les yeux, un gros blanc passais ... vite répond dis quelque chose, n'importe te quoi ferais l'affaire « Non... pourquoi tu dis ça » avais-je dis en faisant semblant de rire « Ok, alors je pense que c'est réglé » réglé... à cet instant mon cœur me faisait très mal, à vrai dire à quoi je m'attendais... j'aurais dû m'en douter mes sentiments ne pouvait pas être réciproque « Tu sais... je suis plutôt content de savoir que tu vas bien, je me suis inquiété pour rien alors ! » si seulement tu pouvais arrêter d'être gentil, comment tu veux que je cesse de t'aimer si tu es comme ça « Tu sais... je suis sûr que Zen sera très heureux lorsque tu lui auras avoué tes sentiments, vous formerai un très beau couple ! » là je tombais des nues, qu'est-ce que Zen venait faire ici ? Il ne s'est probablement pas rendu compte que ces mots me blesser, entendre de la personne que vous aimez que vous seriez mieux avec un autre et juste un crève-coeur, il a raison peut être qui si j'étais tombé amoureuse de Zen tout aurais été plus simple... « Haru pourquoi tu pleures ! » me dit-il en se rapprochant de moi. Je ne m'étais même pas rendu compte qu'une traîtresse avait réussi à s'échapper de mes yeux « Non ... je ne pleure pas ! » et qu'elle était maintenant suivi d'une armée de ces congénères. Je relevais le visage vers lui et vis son visage tellement inquiet, ne voulant pas voir cet air sur son visage, je courus m'enfermais dans la salle de bain. « Haru ouvres la porte ! » me criait-il de l'autre côté, il eut pour seule réponse le bruit de mes sanglots « Haru je t'en prie dis-moi ce qui ne va pas ! » sa voix était si suppliante, mais je ne pouvais pas lui dire « Allé je t'en prie je ne veux pas te voir comme ça » je pouvais clairement imaginer son visage pleins d'inquiétude avec un sentiment d'impuissance, je ne voulais pas voir ces expressions sur son visage alors je pris mon courage à deux mains « Ce n'est pas Zen que j'aime... » avais-je dis tout bas « Quoi je n'ai rien entendus parle plus fort ! » « C'EST TOI QUE J'AIME PAUVRE IDIOT ! » sans m'en rendre compte je venais de lui crier mes sentiments, rouge de honte je me cachais le visage, j'attendais une réponse qui ne venait toujours pas « Haru ouvres la porte » me disait-il calmement « NON ! » lui répondais-je au tac au tac « Si tu l'ouvres pas je la défonce ! » j'hallucinais « Non tu n'oserais pas ! » « Tu veux parier ? » très mauvaise idée vue ma défaite lors de notre dernier pari, je tiens à garder cette porte moi, je me résignais donc à ouvrir la porte. Lorsque ce fut fait je pus voir un sourire satisfait sur son visage « Alors comme ça tu m'aimes ? » je hochais la tête baissé dû à mon embrassement, il me fit un doux sourire que je ne lui connaissais pas « Tu es trop mignonne quand tu rougis ! » je relevais la tête et lui crias « OH ÇA VA ! TAIT TO- » je ne pus même pas finir cette phrase qu'il s'était déjà emparé de mes lèvres. Il riait face à ma tête de paumé toute rouge « Espèce d'idiote pourquoi tu l'as pas dit plus tôt ? Moi qui étais persuadé que tu aimais Zen... » je ne réalisais toujours pas ce qui venait de se passer « Mais... ça veut dire que tu m'aimes aussi ? » il rigola et me caressa les cheveux « Le baiser n'a pas été assez claire ? » je rougissais rien qu'à l'entente de ce mot « Oui idiote » me dit-il avant de me prendre dans ses bras. Ses bras... ils étaient si chaud, si réconfortant, je me sentais si bien, comme si cette place avais était créé pour moi... « Enfin ce n'est pas trop tôt ! » nous retournions surpris que quelqu'un soit dans la pièce « Zen ! » disais-je en me décollant de Nat' qui poussa un petit grognement « Zen tu choisis ton moment pour apparaître ! » il lui sourit « Toujours ! » . C'est à partir de ce jour que je fus la copine de Natsu et l'une des meilleures parties de ma vie commença.
Cela faisait déjà un an que je suis avec Nat', tout va pour le mieux, je crois que je n'ai jamais étais aussi heureuse depuis bien longtemps. Il squattait ma chambre et y mettait le bazar, ce qui m'énervais légèrement mais je ne le restais jamais pour très longtemps. Ma vie ressemblé à un vrai conte de fée j'avais tout ce dont je rêvais un petit ami aimant, attentionné bref juste parfait, et un meilleur ami qui était prêt à tout pour moi et si gentil. Un vrai ciel sans nuage... « Allé debout Nat' » lui chuchotais-je doucement pour ne pas le réveiller trop brutalement « J'ai pas envie on est samedi et le samedi je dors ! » je roulais les yeux, exaspéré « Mais tu m'avais promis qu'on irait se balader ! » disais-je en gonflant les joues pour boudé, il me fit un sourire amusé « D'accord c'est bon je me lève... » je souriais victorieuse « Merci ! » je l'embrassais et me diriger vers la salle de bain pour me préparer, il me regardait quitté la pièce avec un doux sourire. Nous sommes en hiver, c'est Noël ce qui signifie le jour de rendez-vous amoureux pour tous les couples japonais. Je n'arrivais pas à trouver le cadeau parfait pour Nat', Zen c'était déjà fait un nouveau livre vu qu'il aimait lire mais Nat' je ne trouvais vraiment pas. A vrai dire il n'est pas du genre passionné, je me vois mal lui acheté des vêtements et encore moins des livres, vu qu'il déteste ça. Résultat je l'emmène se promener avec moi pour voir si quelques idées me viennent. En sortant dehors je fus surprise par le froid, je ne pus m'empêchais de trembler, Natsu le remarquant me colla à lui « Allé viens la sinon tu vas être malade » j'acceptais volontiers. Nous arrivions dans le centre de la ville ou se trouvait toutes les boutiques, on regardait les vitrines lorsqu'un vieille appareil photo attirais mon attention, il avait un grand zoom mais, une petite taille et un style rétro que j'adorais, mais le prix était élevé je ne pouvais pas me le payer. « Tu l'aimes bien ? » me demandais Nat', je lui souris « Ouais, mais ce n'est pas dans mes moyens. Allé vient on continue ? » je lui pris la main et nous nous dirigions vers les boutiques suivantes. Le bilan de cette sortie : toujours pas d'idée c'est dépriment... mais je vais aller dans la ville d'à côté pour voir si je ne trouve pas un peu truc. Je me promenais dans la rue à la recherche du cadeau parfait pour lui. Cela faisait déjà une demi-heure et toujours rien, je commençais à perdre espoir lorsque je vis cette chaîne dans la vitrine d'une bijouterie. Elle était plutôt simple : fait en argent, mais au bout il y avait une plaque comme les plaques militaires. Je pense avoir enfin trouvé, je suis sûr qu'il va adorer ! En rentrant dans la chambre je le trouvais déjà en train de dormir en même temps il était tard, j'emballais le cadeau et le caché, avant de me changer et de me glisser dans mon lit à ses côtés. Le lendemain soir je me fis toute belle pour notre rendez-vous et nous sommes partis pour nous rendre aux illuminations « Tu sais que tu es canon ? » me disait-il avec un sourire charmeur « Tu n'es pas mal non plus » disais-je sur le même ton. Arrivé à destination nous attendions plus que le signal pour voir toutes les lumières s'allumer. « 5...4..3..2..1..0 ! » crièrent plusieurs couples. Ce fus magnifique toutes les guirlandes qui s'allument chacune à leurs tours, pour terminer sur l'éclairage du sapin géant symbolisant l'esprit de Noël, cela donnait un aspect si magique, si romantique... c'était simplement parfait pour un rendez-vous. Nous avions passé une soirée magnifique, lorsqu'il fut minuit, on se dirigea vers l'orphelinat. Arrivé près de la grille il me sourit et me tendis un paquet « J'espère que ça va te plaire » je lui souris et l'ouvris pour voir l'appareil photo qui avait attiré mon attention la veille « Hier j'ai vu que tu le voulais alors bas voilà maintenant tu l'as » me dit-il je lui sautais dessus et l'embrasser « C'est parfait merci ! Tient voilà le tien, mais par contre je ne suis pas sûr que tu l'aimeras » je lui tendis le paquet, qu'il ouvrât avant en sortant le collier avec un énorme sourire « J'adore ! Merci ! » il me fit un câlin « Dis pourquoi on ne prendrait pas une photo pour se souvenir de ce moment ? ». C'est sur cette phrase que s'achevait Noël, avec en petit plus un nouveau cadre dans ma chambre.
Pendant ma dix-huitième année, je remarquais un changement de comportement chez Natsu, il m'évitait, m'ignorait, comme s'il voulait se débarrasser de moi... J'ai essayé de lui en parlé mais, cela finissais toujours en disputes. Je ne comprenais pas ce qui cloché chez lui... jusque-là il n'avait jamais agi de la sorte envers moi. J'étais complètement perdu...J'en parlai avec Zen qui me rassurer en me disant que c'était juste une passade et que je devais supporter le temps que les choses ce calme. Je souhaitai réellement que tout se passe comme Zen me l'avait dit, mais on sait tous que la vie ne se déroule pas toujours comme on veut... Un soir je rentrais dans ma chambre triste, de ne pas avoir vu Natsu. Il n'était même pas venu en cours, il devait vraiment ne pas vouloir me voir. J'avais beau réfléchir je ne voyais pas ce que j'avais pu faire pour qu'il s'éloigne de moi... Je m'allongeais alors sur mon lit pour m'endormir sans lui... comme depuis plusieurs semaines. Il me manquait tellement, tout me manquais son sourire, la chaleur qu'il dégageait, sa présence auprès de moi simplement. J'essayais alors de m'endormir en chassant toutes ces pensées négatives. Le lendemain matin dans les couloirs du lycée je le vit au loin avec Zen en train de parler, je me rapprocher alors d'eux et je vis une chose que jamais je n'aurai pensé voir un jour. Zen venait de frapper Natsu au visage. Je courrais alors vers eux retenant Zen de recommençait, en lui criant d'arrêter. Je ne comprenais vraiment pas ce qui se passer... ils se connaissaient depuis des années, ils ne se disputaient jamais et se battaient encore moins « Zen pourquoi tu frappes Nat' ?! » avais-je criais les larmes menaçant de couler, il le vit et baissa simplement la tête, ne me répondant pas comme s'il me cachait quelque chose. Je me précipitais alors vers Natsu toujours au sol en train de me regarder « Ça va ? » il repoussa ma main et se leva pour partir sans un mot. La s'en fut trop pour moi « Mais qu'est-ce que tu as à la fin ?! Qu'est-ce que j'ai fait pour que tu me détestes à ce point ! » avais-je criais en larmes, il se contenta de partir en m'ignorant. Je m'écroulais alors à genoux sur le sol en pleurant, pourquoi était-il comme ça... Zen me prit tout de suite dans ses bras ne voulant pas me voir pleurer. La fin de la journée a été éprouvante pour moi, je ne cessais de repensé à ce matin, Natsu n'agissait vraiment pas normalement...je devais vraiment comprendre ce qui clochait chez lui. A la fin des cours je regagnais ma chambre et vis une lettre sur mon lit je l'ouvris et y reconnue immédiatement l'écriture de Natsu.
« Haru, Je suis parti, ne me cherche pas et vis ta vie comme bon te semble. Natsu »
Quoi, c'était quoi ça ? Je me précipitais alors vers mon armoire ou Natsu avait l'habitude de laisser quelques affaires, mais là il n'y avait plus rien. Non... ce n'était pas vrai il n'est pas vraiment partit. Je courrais alors à l'extérieur du bâtiment dans l'espoir de le retrouvait, de le faire restait. Je le vis au loin avec un sac sur l'épaule « NATSU ! » avais-je crié en larmes il s'arrêtait mais ne se retourna pas pour autant « Tu t'en va pas... hein ? Ta blague est vraiment pas drôle allé viens on retourne à la maison, retrouvé Zen » avais-je dis la voix tremblante « Tu retournes à l'orphelinat toute seule » m'avait-il dit avec une voix si froide. Je ne pouvais plus parler, aucun mot ne pouvait sortir de ma bouche... ces paroles m'avaient transpercé le coeur « Tu m'abandonne... ? » avais-je enfin réussi à dire « Oui je n'ai pas besoin de toi, tu n'es qu'une gène » alors c'est comme ça qu'il me voyait... Je voulais pouvoir bouger le retenir, lui dire que je suis désolé même si je ne sais pas ce que j'ai pu faire, je ne penser qu'à le retenir. A cet instant mes jambes se remirent à bouger et je lui courrais auprès. Je devais le rattraper coûte que coûte, c'étaient les seuls mots auquel je pensé. Je le vit traversé un chemin de fer et au moment où je me rapprocher je vis le signal me disant de m'arrêter, car un train allait passer mais... si je le faisais je ne le reverrais peut-être plus jamais, alors je continué de courir en ignorant ce maudit signal. Au moment où j'allais passer sous la barrière je sentis deux bras me tenir fermement m'empêchant d'aller plus loin. A cet instant je vis le train passait à une vitesse folle ; lorsqu'il fut passé il n'était plus là... « TU ES COMPLÈTEMENT CINGLE ! TU AURAIS FAIT QUOI SI JE NE T'AVAIS PAS ARRÊTER ! » je me retournais pour voir Zen avec un regard des plus énervé « TU VOULAIS MOURIR OU QUOI ! » je ne disais rien, ne réalisant pas tout ce qui s'était passé... J'étais comme absente, déconnecté. Zen face à mon état me pris dans c'est bras et me murmura avec une voix tremblante « Haru il est parti... Allé viens on rentre » je ne disais pas un mot, ne bougeais pas. Il me souleva et me ramena dans ma chambre sans un mot. Arriver dans ma chambre il me déposa sur mon lit et s'assit à côté de moi « Haru je t'en prie dis quelque chose, ou même fais quelque chose, ne reste pas juste comme ça » je voyais toute l'inquiétude dans ses yeux, pour essayer de le rassuré je lui dis « Ne t'inquiète pas je vais bien... » avec une voix si faible « Arrête de mentir ! Tu sais bien que c'est faux ! » je ne pus retenir mes larmes plus longtemps, dire que je ne voulais pas qu'il me voit si faible, si vulnérable. Il me serra dans ses bras « POURQUOI ÇA FINIT TOUJOURS COMME CA ! IL FAUT TOUJOURS QUE LES PERSONNES A QUI JE TIENS LE PLUS M'ABANDONNENT ! » avais-je criais entre mes sanglots, il resserra encore plus son étreinte sur moi et me murmura à l'oreille « Je serais toujours là pour toi d'accord. Ne t'inquiète pas les choses iront mieux dans l'avenir, je ne laisserais plus jamais quelque chose te blesser, je te le promets » on resta dans cette position jusqu'à ce que je m'effondre d'épuisement. Le matin en me réveillant je pensais que j'avais fait un cauchemar, mais lorsqu'en me levant je vis Zen à mes côtés et toutes les affaires de Natsu disparus, je réalisé que c'était bien la cruelle réalité une larme m'échappa mais Zen l'essuya bien vite, je fus étonnée, moi qui pensé qu'il dormait « Ne pleure pas princesse... » dit-il en me collant contre son torse « Cette période va être difficile, mais je suis encore là moi » c'est vrai je n'ai pas tout perdu il est toujours à mes côtés « On va la surmonter ok ? » me dit-il en souriant, c'est vrai je n'étais pas la seule à en souffrir. Zen avait lui aussi perdu son meilleur ami, une personne qu'il connaît depuis des années, une personne qui lui est aussi chère que moi. Je devais surmonter cette étape, non on devait la surmonter... je lui rendis un maigre sourire « Ok... ».
Dernière édition par Haru Nakumura le Mar 12 Mar - 15:03, édité 5 fois
Sujet: Re: Haru ❀ Who I am from the start Sam 16 Fév - 21:24
❝ Il est impossible de vivre une vie paisible, sans embûches, sans accidents, sans égratignures, sans épreuves. Ce qui est le plus dur est de les affronter, de pouvoir vivre avec, de pouvoir les faire siennes. ❞
Cela faisait maintenant deux ans que Natsu est parti... on n'a eu aucune nouvelle depuis ce jour. Je me suis reconstruit petit à petit avec le soutien de Zen. Je lui serais toujours reconnaissante pour tout ce qu'il a fait pour moi. Je suis maintenant âgée de 20 ans, ce qui signifie que j'ai atteint la majorité. Je vais donc devoir dire au revoir à tout le monde à orphelinat, cela me faisais un petit pincement au cœur à vrai dire je me suis beaucoup attaché aux personnes qui y sont. J'avais décidé avec Zen qu'on irait vivre dans la maison de ma grand-mère, pour ne pas avoir à acheter une nouvelle maison. Aujourd'hui on était le jour J. On avait dit au revoir à tous les enfants et à Nina qui s'était si bien occupé de nous pendant nos années ici. Nous sommes donc partit avec toutes nos affaires vers mon ancienne maison. Arrivé devant je me sentais nostalgique, elle n'avait pas changé d'un poil, comme si le temps c'était figé attendant mon retour. Je mis ma clé dans la serrure et pénétra dans la maison suivi de Zen. On entreprit de faire le ménage, car cela faisait quand même six ans qu'elle était inhabitée. Lorsque tout fut nettoyé et ranger je partis vers mon cerisier. Comme à mon habitude je me mis en dessous et parla à ma grand-mère avec un sourire « Je suis rentrée » je me sentais bien à cet endroit, comme toujours. « C'est un endroit chouette » je me retournais vers Zen et lui sourit « Oui, je l'adore » il me sourit « Alors, c'est cet arbre le fameux cerisier ? » je lui fis un sourire nostalgique « En effet c'est là que ma grand-mère repose » maintenant je pouvais le dire sans aucune peine, j'en avais faits du chemin... « Aller viens il se fait tard rentrons à l'intérieur ! » il me tendit une main que je pris avec le sourire. Un peu plus tard nous regagnions chacun nos chambres, j'avais pris la chambre de ma grand-mère et lui avais laissé la mienne. Cette chambre me faisait tellement pensée à elle, je sourie en me rappelant tous les bons moments passés dans cette maison, certes elle me manquait toujours, mais au fil des années j'avais appris à faire mon deuil et à aller de l'avant. Cela fait déjà un mois que l'on vivait dans la maison de ma grand-mère, tout allé pour le mieux, on menait une vie tranquille. Comme tous les matins Zen venait me réveiller « Aller réveilles toi la marmotte » me disait-il en ouvrant les rideaux, je grognais et me mettais sous la couette « Encore une heure...» il tira la couette et me dit « il est déjà 13h tu as assez dormi ! » je lui jetais alors un coussin, il me regarda alors avec un sourire joueur « Ah ouais c'est comme ça, tu veux jouer on va jouer » sur ces mots il m'envoya tous les coussins qu'il avait sous la main. Ce fut une énorme bataille d'oreiller ! A un moment Zen mit un coup dans le tableau au-dessus du lit de ma grand-mère ce qui le fit tombé « Zen fait gaffe ! » il s'excusa et ramassa le tableau. Il vit près du tableau une vieille photo « C'est quoi ça ? » me dit-il en me la tendant. Quatre personnes apparaissaient. Je l'examinais et m'y reconnue enfant vers l'âge de deux ans, à coté j'y reconnue ma mère grâce à des photos que ma grand-mère m'avait montré autrefois, mais les deux autres personnes ne me disais rien, il s'agissait d'un homme qui me tenait dans ses bras et un bébé dans les bras de ma mère. Cette photo ressemblé étrangement à une photo de famille... « Tu sais qui c'est ? » me demanda Zen, je le regardais et lui répondit « Je me reconnais et reconnais ma mère, mais les deux autres personnes me sont totalement inconnues. » il me regardait plutôt surpris « Tu sais pourquoi ta grand-mère te cacher cette photo ? » je n'en avais aucune idée... « Non, on n'avait aucun secrets l'une pour l'autre, enfin je croyais... » je pensais réellement qu'elle me disait tout, quoi qu'avant j'avais déjà fait l'expérience du mensonge sur sa santé. Mais je savais qu'elle avait fait cela dans le but de me protéger. Alors pourquoi un autre secret...je réfléchis et me souvenais alors de tous les cartons qu'il y avait dans le grenier, peut-être que je trouverai des indices « Je pense qu'on pourra trouver des réponses dans le grenier, il y a pleins de vieux cartons ». Sur ces mots nous nous sommes rendus au grenier et nous avons cherché parmi toutes les boites le moindre indice sur les deux personnes de la photo.
C'est seulement au bout de deux heures de recherche que je mis la main sur un vieux journal « Zen vient voir je crois avoir trouvé quelque chose d'intéressant » il se rapprocha de moi « C'est quoi ? » je l'ouvris et lui répondis « C'est le journal de ma mère... » alors elle avait un journal... Je n'en avais pourtant jamais entendu parler ma grand-mère. Dans ce journal j'aurais peut-être la réponse à la question qui me hante depuis maintenant 18 ans... Pourquoi m'a-t-elle abandonné ? J'espère vraiment y trouver la réponse. Au fur à mesure que j'avançais dans la lecture, plus j'en apprenais sur mon père. Il semblerait que ma mère l'ai rencontré à l'âge de 25 ans, ce serait un américain travaillant à Tokyo se nommant Tom Stanley, elle serait tombée follement amoureuse et se serait installé avec lui un an plus tard. Alors mon père se nommait Tom Stanley ? A vrai dire mamie ne me l'avais jamais dit et à chaque fois que je posais la question je pouvais lire une pointe de rancœur et de rage dans son regard, j'avais donc décidé d'éviter le sujet. La page suivante date du 21 mars 1989 j'y lus :
« En ce 21 mars 1989, le 1er jour du printemps tu es enfin née ma petite Haru ! Si tu savais comme j'étais impatiente de pouvoir te serrer dans mes bras, je suis s'y heureuse ! Saches que ta naissance nous apporte le bonheur avec ton père ! Bienvenue au monde ma chérie ! Ps : plus tard ne te plaint pas que ton nom à était pris à la légère, car moi je l'aime bien ! Maman »
Là je ne comprenais pas... si ma naissance était voulue pourquoi m'a-t-elle abandonné ? J'étais perdu, je ne la comprenais pas... Pour plus de réponse je continuais la lecture. Dans la suite du journal ma mère parle de beaucoup de voyage que faisait mon père entre New York et Tokyo et d'elle qui m'élève seule. La page suivante à été écrit environ neuf mois après, il y était écrit :
« Aujourd'hui nous sommes le 21 mai 1991 et tu es enfin née Juna ! Saches que je suis très heureuse comme ton papa et ta grande sœur Haru qui n'arrête pas de te surveiller et de me rapporter tes moindres faits et geste, comme une vraie petite maman ! Je te souhaite la bienvenue dans ce monde ! Maman »
Ce fut le choque... j'avais une petite sœur ? Mais comment c'était possible, je veux dire pourquoi je n'étais pas au courant, pourquoi n'était-elle pas avec moi chez mamie... Tant de questions se bousculer dans ma tête. Je continue ma lecture espérant des réponses, mais en tournant la page suivante je tombais sur une page vierge. Je tournais alors toutes les pages dans l'espoir de trouver ne serait-ce qu'un indice sur ma sœur, mais rien... Je m'affolais et tournée les pages de plus en plus vite, ce n'est pas possible il doit bien y avoir autre chose ! Arrivé à la fin je trouvé juste une enveloppe je l'ouvris. J'y reconnue immédiatement l'écriture de ma mère cette lettre datée de quatre mois après la dernière page, cette lettre m'était adressé.
« Haru … Maman est tellement désolé. Je ne peux plus continuer à m'occuper de toi ... je ne suis pas capable de t'élever convenablement quelle mère affreuse je suis. Pour ton bien tu vas vivre avec ta grand-mère, au moins elle saura te rendre heureuse et subvenir à tous tes besoins, une chose dont je suis incapable. Mais même si je quitte ta vie je pense que tu as le droit à la vérité sur ta naissance, sur ton père et sur ta sœur... Haru ton père m'a menti et cela depuis notre rencontre. Il m'a donné une fausse identité. Comme tu as pu le voir dans les pages précédentes il faisait beaucoup de voyage entre Tokyo et New York, pendant cette période il aurait rencontré une femme et se serait marié avec elle sous un autre nom. Mais... lorsque que ta sœur a eu quatre mois il l'a emmenée avec lui pour fonder un nouveau foyer à New York avec cette femme... Je n'ai même pas été capable de protéger ma propre fille, je suis une mère abominable et incapable ! Je ne parviens même pas à la retrouver malgré tous mes efforts... Je sais que cette décision peut paraître égoïste mais, sache que je ne t'abandonne pas parce que je ne veux pas de toi, mais seulement je ne suis pas en état de t'élever convenablement, je préfère que tu aies une vie heureuse, pour moi seul ton bonheur compte... Je suis tellement désolé, je sais que cela ne suffira peut-être pas à me faire pardonner mais, sache que maman t'aime fort ma chérie et t'aimeras toujours. Maman »
Je pouvais voir clairement des traces de larmes sur le papier, elle avait pleuré en écrivant ces mots. Je ne savais pas quoi dire... Alors ma mère m'aimait, je regrettais tellement toutes les horreurs que j'avais pu dire sur elle, la décision de m'abandonnais n'avait pas été facile... Mais la chose qui me choquait le plus était le fait d'avoir une sœur, qui serait en Amérique. Moi qui croyais n'avoir plus de famille. Je pleurais devant la détresse de ma mère, devant les réponses à mes questions. A cet instant un sentiment qui m'était encore inconnue me submergea, la vengeance et la haine.J'en voulais à cet homme d'avoir fait tant de mal à ma mère et de m'avoir privé de l'amour qu'elle aurait dû me donner, de m'avoir volé ma petite sœur.J'essuyais mes larmes et me retournais alors vers Zen et je vis sur son visage une mine inquiète « Tu comptes faire quoi maintenant ? » je le regardais sur de moi « Je pars à New York dans deux ans le temps de récolter l'argent nécessaire. Je veux la retrouver et me vengé de cet homme pour tout ce qu'il nous a fait !Tu me suis ? » il me sourit « Bien sûr, comme si je pouvais te laisser seule un instant, surtout dans un pays inconnue » je lui rendis un sourire. C'était alors décidé dans deux ans, on prendrait un aller simple pour New York.
'étais à New York avec Zen dans le seul but de retrouver ma soeur et de faire payer à mon père tout ce qu'il nous a fait. Cette ville me paraissait immense, elle est si active, on dirait une fourmilière, c'est encore pire que Kyoto... J'ai un sentiment d'anxiété à vraie dire c'est la première fois que je quittais ma ville natale pour un pays dont je ne sais pas grand-chose. Mais ce sentiment était battu pour l'excitation à l'idée d'une nouvelle vie et d'enfin voir ma petite sœur. Mais... à vrai dire je n'ai que son prénom, alors j'ai peur de ne pas la retrouvé, si ça se trouve il a même changé son prénom pour être sûr que ma mère ne la retrouve pas, on peut s'attendre à tout avec lui. Mais je ne perds pas espoir, je vais y arriver, pour ma mère, mais aussi pour moi. « Aller viens on doit aller chercher un hôtel pour la nuit »me dit Zen, je lui souriais et on se dirigeait vers un petit motel, il n'avait pas l'air très sale, mais ce n'était pas non plus le luxe, en même temps vu nos moyens on ne pouvait pas faire mieux. En entrant on vit un jeune femme en train de lire un magazine en mâchant un chewing-gum de manière nonchalante, avec un air ennuyé « Bonjour, une chambre s'il vous plaît, avec deux lits simples » elle leva les yeux pour nous regarder de haute en bas avant de reprendre à nouveau sa lecture en nous répondant d'une manière monotone « Vous rester pendant combien de temps ? » pas très aimable « A vrai dire on ne sait pas encore, combien coûte une chambre pour deux semaines ? » sans décoller les yeux de son magazine elle nous répondit « 350$ » ils ne se font pas chiés ici ! Au Japon à ce prix-là on aurait passé la nuit dans une auberge avec des sources chaudes comprise ! Zen soupira « Très bien on en prend une » en même temps on n'avait pas vraiment le choix « Voici la clé de la chambre 24, elle se trouve vers la gauche » toujours aussi aimable celle-là, on ne lui a jamais appris à sourire ou quoi ? Nous nous dirigeons alors vers la chambre et en entrant on était plutôt surpris. C'était une petite chambre avec juste deux lits une seule table de chevet au milieu et une mini-télé en face. Ce prix pour ça, définitivement c'était très différent du Japon. Je m'allongeais alors sur le lit et me tournais vers Zen « Et bas dis donc ce n'est pas ce à quoi je m'imaginais » il me sourit « Et à quoi tu t'attendais ? » à vrai dire je ne savais pas non plus pour moi l'Amérique, New York, le rêve américain et tout le tralala, je ne sais pas peut être que j'embellissais tout « Bas je ne sais pas... mais c'est vraiment un changement de mentalité par rapport au Japon, mais je m'y habituerais » je lui souris, il me le rendit et me dis « Demain je vais essayer de nous trouver un appartement et trouvé par la même occasion un petit boulot. Tu comptes faire quoi de ton côté ? » « Je pense que je vais essayer de trouver des pistes pour la retrouver » j'étais vraiment déterminé ; je la retrouverais coûte que coûte.
Cela fait maintenant deux ans que je me suis installé à New York avec Zen, tout se passe bien on a notre petit chez nous, c'est un petit appartement ou l'on a chacun notre chambre et un petit salon que l'on a bien aménagé. Pour pouvoir payer le loyer j'ai dû prendre un petit job dans un disquaire que j'adore, pouvoir passer une journée entière avec de la musique dans les oreilles, il n'y a rien de mieux. Mais je n'ai pas pour autant laisser tomber mon rêve d'être compositrice et interprète de mes chansons, je continue à composer petit à petit à mon rythme. En ce qui concerne ma soeur je n'ai encore rien trouvé, en même temps avec seulement un prénom je ne peux pas aller très loin, toutes mes pistes jusque-là on était fausse, je commence un peu à perdre espoir... « Alors le coup de téléphone à l'agence d'adoption n'a rien donné ? » me demande Zen, je soupire « Hélas non encore une fois rien... c'est à croire qu'elle n'a jamais été adoptée dans les règles. » cela ne m'étonnerais même pas « Je commence à me demander si je peux la retrouver...si ça se trouve elle n'est même plus ici » c'est vrai pourquoi je m'acharne, j'ai déjà passé deux ans à faire plein de recherches qui se sont toutes avéré inutile, je me demande si j'ai bien fait de venir ici « Aller ne baisse pas les bras, je suis sûr que tu vas la retrouver, il faut juste patienter encore un peu » toujours là pour m'épauler, me soutenir dans tout ce que je fais, qu'est-ce que je ferais sans lui « Tu as raison en plus ce n'est pas mon genre » il me sourit. J'allume la télé et tombe sur une interview de tous les top-modèles du moment, même si ce n'est pas le genre de programme que je regarde je décide de le regarder, comme si une petite voix m'empêcher de changer de chaîne. Dans ce programme les filles sont plus belle les unes que les autres mais l'une d'elle qui est en train de patienter depuis le début en attendant son tour pour l'interview m'intrigue vraiment. A l''instant on l'on fait un gros plan sur son visage je reste bouche bée. Elle ressemble tellement à ma mère, vous aller me dire toutes les asiatiques se ressemble, mais là c'était vraiment frappant. Pour vérifier je cours dans ma chambre pour sortir la seule photo que j'ai de ma mère pour les comparer, mais je n'avais aucun doute, c'est comme si c'était une évidence « Zen ! » dis-je en criant, le principal concerné arrive en courant probablement inquiet de mon changement d'attitude « Quoi qu'est-ce qui se passe?! » je lui donne la photo et lui montre du doigt la jeune femme à la télé, il jette un coup d’œil, mais deviens vite aussi étonné que moi, il me regarde puis me dit « C'est vrai que la ressemblance est frappante, mais on n'est pas encore sûr » c'est vrai ce n'était pas une vraie preuve, je me fais peut-être fausse route. C'est à cet instant qu'elle prit la parole « Je suis Juna, un top modèle Japonaise et Américaine et j'ai 22 ans » Ce nom... c'est le même ! Et l'âge correspond aussi, là je n'ai plus aucun doute c'est bien elle, je l'ai enfin retrouvé, ces deux ans n'auront pas étaient inutiles ou encore une perte de temps. Des larmes de joie s'échappèrent de mes yeux, ça y est je sais qui elle est, je sais qu'elle est vivante, je sais qu'elle se trouve à New York. Maman j'ai enfin réussi ! Je veux vraiment la rencontrer, pouvoir discuter avec elle, en apprendre plus sur sa vie, savoir tous ces goûts et tout un tas de choses insignifiante pour certains, mais très importante pour moi. Je veux qu'elle rentre dans ma vie et rentré dans la sienne. Mais je n'oublie pas pour autant cet homme qui m'a tout prit, il ne s'en sortira pas comme ça, il va payer. Attendais moi j'arrive !
Dernière édition par Haru Nakumura le Mar 12 Mar - 15:07, édité 3 fois
A DROP IN THE OCEAN ⊱ your deepest fear : ➽ quels sont vos plus grandes peurs et/ou craintes ⊱ family portrait : ⊱ to do list :
Sujet: Re: Haru ❀ Who I am from the start Sam 16 Fév - 21:31
MIIIIIIIIIIIIIIIIINOUCHE Je suis contente que tu es finalement décider de sauter le pas ( c'est pas comme si je t'avais forcé la main muhaha ) enfin en même tant je ne pouvais pas permettre que tu laisses au placard ton personnage. Enfin bref bienvenue soeurette et si tu as un problème tu sais où me trouver un ( genre tu me tape l'épaule ou tu cris comme tu sais si bien le faire )
enfin bref Bieeeeeeeeeeeeeeeeeeevenue
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Sujet: Re: Haru ❀ Who I am from the start Sam 16 Fév - 21:46
Sujet: Re: Haru ❀ Who I am from the start Dim 17 Fév - 17:18
un fan de japonais comme moi Merci Jin
Invité Invité
Sujet: Re: Haru ❀ Who I am from the start Dim 17 Fév - 17:42
La petite soeur de Cyrielle auquel j'ai eu la chance d'avoir pu entendre déjà parlé du personnage auquel je suis déjà fan j'ai bien hâte de découvrir plus en détail puis l'avatar est juste sublimeeeeeeeee je suis bien heureuse que tu es craquée et que tu nous ai rejoint je te souhaite la bienvenue parmi nous
Sujet: Re: Haru ❀ Who I am from the start Dim 17 Fév - 19:19
Merci Jordan ! J'espère ne pas te décevoir !
Invité Invité
Sujet: Re: Haru ❀ Who I am from the start Mar 12 Mar - 23:07
Ta fiche est sublime j'adore le personnage elle est à la fois drôle et triste en tout cas je suis amoureuse de ta façon d'écrire je te valide avec grand plaisir
N'oublie pas d'envoyer ton secret sur le compte du maire, sur ce, tu peux faire tes demandes (liens, logements, métiers ...) Si tu as besoin de quoique ce soit n'hésite pas a harceler le staff surtout je te souhaite un bon jeu parmi nous
Sujet: Re: Haru ❀ Who I am from the start Mar 12 Mar - 23:30
Jordan Stark a écrit:
Ta fiche est sublime j'adore le personnage elle est à la fois drôle et triste en tout cas je suis amoureuse de ta façon d'écrire je te valide avec grand plaisir
N'oublie pas d'envoyer ton secret sur le compte du maire, sur ce, tu peux faire tes demandes (liens, logements, métiers ...) Si tu as besoin de quoique ce soit n'hésite pas a harceler le staff surtout je te souhaite un bon jeu parmi nous
Merci Pour les question et l'harcelement j'ai ma soeur
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Sujet: Re: Haru ❀ Who I am from the start Mar 12 Mar - 23:31
Haru Nakumura a écrit:
Jordan Stark a écrit:
Ta fiche est sublime j'adore le personnage elle est à la fois drôle et triste en tout cas je suis amoureuse de ta façon d'écrire je te valide avec grand plaisir
N'oublie pas d'envoyer ton secret sur le compte du maire, sur ce, tu peux faire tes demandes (liens, logements, métiers ...) Si tu as besoin de quoique ce soit n'hésite pas a harceler le staff surtout je te souhaite un bon jeu parmi nous
Merci Pour les question et l'harcelement j'ai ma soeur
Sujet: Re: Haru ❀ Who I am from the start Mar 12 Mar - 23:36
Autumn Matthews a écrit:
Haru Nakumura a écrit:
Jordan Stark a écrit:
Ta fiche est sublime j'adore le personnage elle est à la fois drôle et triste en tout cas je suis amoureuse de ta façon d'écrire je te valide avec grand plaisir
N'oublie pas d'envoyer ton secret sur le compte du maire, sur ce, tu peux faire tes demandes (liens, logements, métiers ...) Si tu as besoin de quoique ce soit n'hésite pas a harceler le staff surtout je te souhaite un bon jeu parmi nous
Merci Pour les question et l'harcelement j'ai ma soeur
Ouais bas abuse pas trop hein
Moi abuser de toi ? JAMAIS je ne le fait !
Invité Invité
Sujet: Re: Haru ❀ Who I am from the start Mer 13 Mar - 0:00
Accueil 
nom ⊱ Nakumura, le nom de famille de ma grand-mère puisqu'elle m'a élevé, il est donc très important pour moi. prénoms ⊱ Haru, ça signifie "Printemps" en japonais, oui je sais mes parents n'étaient pas vraiment inspirés, mais j'aime bien ce prénom. date de naissance et âge ⊱ Née le 21 mars 1989, j'ai 24 ans et toutes mes dents ! lieu de naissance ⊱ Je suis née à Kyoto au Japon. nationalité ⊱ Japonaise et fière de l'être origine(s) ⊱ Japonaise statut et orientation sexuelle ⊱ Célibataire et hétérosexuelle situation sociale ⊱ Je ne suis ni riche ni pauvre ; ni à plaindre ni à envier. emploi et/ou études ⊱ Je n'ai pas vraiment d'emploi, je vis de ma musique comme une vraie artiste. Je compose et interprète quelques fois pour pouvoir me nourrir et payer mon loyer. Niveau étude, j'ai directement arrêté après mon diplôme pour me consacrer uniquement à la musique. traits de caractère ⊱ Artiste - Ambitieux - Énergique - Mature - Passionné - Sensible - Renfermée - elle se dit Forte mais elle est plus Fragile qu'elle ne le pense. 
particularités, manies et autres ⊱ C'est une jeune femme qui n'aime pas se rapprocher des autres et qui n'accorde pas sa confiance facilement, elle est devenue comme ça suite à son passé. Elle s'est créée une carapace pour se protéger et ne plus souffrir, elle cache ses émotions et se donne de faux aires pour ne laisser personne l'approcher. La seule personne avec qui elle reste authentique est Zen son meilleur ami.Elle se balade toujours avec sa guitare, son cahier pour composer et son appareil photo. Elle trouve son inspiration dans tous les endroits où elle passe, elle aime aussi prendre des photos de toutes les choses qu'elle trouve intéressantes comme par exemple la figurine hippopotame que Zen lui a acheté pour son anniversaire, elle le garde toujours sur elle et le prend même en photo n'importe où, ce qui l'a fait souvent passer pour une folle.Elle a une manie qui l'énerve, elle se ronge les ongles. Elle a beau essayer d'arrête elle n'y arrive pas ce qui l'agace fortement.
depuis combien de temps habitez-vous à new-york et que représente-elle ? ⊱ J'habite à New York avec Zen depuis maintenant deux ans. Cette ville représente les réponses à toutes mes questions, celle qui me torture depuis que j'ai tout découvert au sujet de l'abandon de ma mère. Des réponses que parfois je n'aurais préférée jamais connaître. Cependant, maintenant que j'ai toutes ces réponses je ne peux pas me contenter plus longtemps d'être spectatrice de ma vie, je dois prendre les choses en main et arrêter de subir. Alors, voilà j'ai posé, nous avons posés nos valises à New York. Pour un nouveau départ... pour oublier le passé et enfin connaître toute la vérité...
quel est le plus beau souvenir et regret de votre vie ? ⊱ Dans ma vie j'ai eu deux périodes magnifiques et que je ne remplacerais pour rien au monde. La première correspond à mon enfance des plus heureuse avec ma grand-mère, à l'époque la vie me semblais tellement simple, juste joyeuse, je ne manquais de rien et j'avais tout ce que l'on pouvait rêver : Une grand-mère aimante et gentille ainsi qu'un foyer des plus accueillant. L'autre renvoie à mes premières années à l'orphelinat, ma seconde famille, l'endroit où j'ai rencontré Natsu et Zen, les deux personnes qui compte le plus pour moi, là où j'ai aussi enfin reprit goût à la vie, où j'ai pu m'épanouir et enfin me reconstruire. En ce qui concerne les regrets j'en ai pas mal... Le premier est la mort de ma grand-mère, le jour où tout mon monde s'est écroulé où je me suis sentis si seule et perdue. Le second est le jour où je n'ai pas pus retenir Natsu... je m'en veux, et je m'en voudrais toujours, je voudrais tellement qu'il ne soit jamais parti qu'il ne m'ai pas abandonnée, j'aurais voulus avoir la force de le retenir mais j'ai juste échoué lamentablement. Le dernier grand regret de ma vie il le fait d'en avoir toujours voulus à ma mère pour m'avoir abandonné. A cette époque je ne savais rien de l'histoire, si seulement j'avais su plus tôt je n'aurais jamais dit toutes ces horreurs à son sujet. 
Comment définiriez vous vos liens avec vos proches ainsi que vos amis ? ⊱ Ma famille... je n'ai pas grand-chose à dire, une mère qui m'a abandonné, une grand-mère décédée et un père inconnu. Autant dire que je n'ai pas de famille pour le moment. La seule personne qui est toujours là pour moi est Zen. Il est bien plus que mon meilleur ami, c'est mon grand-frère et mon confident, je ne peux même pas imaginer ma vie sans lui. Si je ne l'avais pas rencontré qui sait où je serais en ce moment... C'est la seule personne en qui j'ai confiance, le seul avec qui je reste vraie, le seul qui sait me faire sourire et rire. Je lui serais toujours reconnaissante pour tout ce qu'il a fait pour moi et pour avoir été là pour moi, même dans les moments les plus dur de ma vie.
célébrité ⊱ Yui Yoshioka 
pseudo/prénom et âge ⊱ Christelle, 16 ans groupe ⊱ 
avez-vous pris un scénario ou un prédéfinis ? ⊱ Ce personnage sort de ma petite tête, je l'ai imaginé et créé possédez-vous d'autres comptes sur le forum ? ⊱ Non, je n'ai qu'Haru code du règlement ⊱ it doesn't matter if you're right, i'm what i am commentaires ⊱ C'est la première fois que je fais ça donc c'est un peu le grand saut ! 
) enfin en même tant je ne pouvais pas permettre que tu laisses au placard ton personnage. Enfin bref bienvenue soeurette et si tu as un problème tu sais où me trouver un ( genre tu me tape l'épaule ou tu cris comme tu sais si bien le faire 
) 
je te valide avec grand plaisir 
