nom ⊱ Weston prénoms ⊱ Sana date de naissance et âge ⊱ 21 juin 1988 lieu de naissance ⊱ Seattle nationalité ⊱ Américaine origine(s) ⊱ marocaine statut et orientation sexuelle ⊱ Mariée et hétérosexuelle situation sociale ⊱ elle n'est pas à plaindre de ce côté là emploi et/ou études ⊱ femme au foyer traits de caractère ⊱ (en quelques mots) quand on me voit la première fois, on pense que je suis forte, sûre de moi et toujours souriante. ce n'est qu'une image que je me donne, une sorte de carapace que je me suis faite. c'est vrai que je suis impulsive, franche, rancunière, sportive, protectrice. mais si on va au-delà de ça, si on creuse un peu, je suis sensible, fragile et je manque légèrement de confiance en moi. signe particuliers ⊱ à part les bleue sur son corps aucun.
particularités manies et autres ⊱ perds continuellement son portable + commence ses repas par le dessert et ses livres par l’épilogue. A mettre sur le dos de son impatience légendaire, ou peut-être d’une sagesse incomprise, elle n’en sait rien. + s’entraîne souvent à répéter les répliques de ses personnages et héros préférés devant le miroir. + envisage l’avenir comme une éternité de souffrances et d’ennui. + Personne ne sait. Son viol. Personne n'est au courant du calvaire. Sauf Jamie. +Elle a la peau porcelaine et les cheveux chocolat. Oh, jolie poupée brisée. + Lâche, non suicidaire. + Prisonnière du couloir de la mort. +Perte d'équilibre. Voile blanc. Aucune sensation. + Rêve, rêve, rêve. + Fin.
❝ EVERYTHING WILL CHANGE. NOTHIN' STAYS THE SAME. ❞
depuis combien de temps habitez-vous à new-york ? ⊱ Cette peur qu’on lit dans leur regard. Qui les tétanise. Qui les fait trembler. Qui les fait frissonner. Qui les fait supplier. Crier aussi. Cette peur c'était la mienne. La peur de l'inconnu, la peur de me retrouver seule face à lui, la peur d'être éloigner de tout. La peur de cette ville, de New York. Il a voulu m'éloigner de tout : mes amies, ma famille, de ma ville. Alors après notre mariage forcé, j'ai dû m'éloigné de mes proches et venir à New York. Cette ville, je ne l'a connais pas. Je ne suis ici que depuis un petit moment seulement.
quel est le plus beau souvenir et regret de votre vie ? ⊱ Quel pire malheur que d’être naïve ?! J’étais jeune. Je ne pensais pas au mal qu’on pouvait me faire. Je n’avais pas idée que le diable était tapi dans l’ombre, caché sous de sourires affectueux, des gestes tendre et des regards qui semblaient en dire long. Quand on est jeune on ne voit pas le mal des autres, on donnerait notre vie par confiance. On ne vit que l’instant présent, les gestes qu’on nous prodigue. On ne peut imaginer que la méchanceté est en possession de ce corps qu'on apperçoit tous les jours, cette personne qu'on considère comme un membre de la famille. Pourtant rapidement la vision que j’avais de lui est devenue trouble. Du jour au lendemain il a changé, il s’est transformé. Certes, on était pas toujours en accord, on s'entendait pas toujours. On aurait dis qu’il avait fait un pacte avec le mal. Le pire quand on si jeune c’est de ne pas comprendre pourquoi un tel changement s’est effectué, pourquoi notre monde s’effondre d’un seul coup. Ah l’innocence de l’enfance. Si seulement j’avais su, si seulement je m’en étais aperçu, je n’aurais pas tant souffert, je n’aurais peut-être même pas survécu.
Que représente new-york à vos yeux ? ⊱ J’vois pas pourquoi il a tellement voulu aller là-bas. Pourquoi ? Pourquoi New York ? Je veux changer de continent, changer de pays, de ville, d’accent et si j’pouvais balbutier quelques mots de russe, j’irais vivre dans les pays de l’Europe de l’est et m'enfuirais là-bas, loin de lui. Mais New York avec lui ? Non merci. La vie dorée de New York, j’en veux pas. New York me donne envie de gerber.
célébrité ⊱ texte pseudo/prénom et âge ⊱ texte groupe ⊱ faites votre choix présence sur le forum ⊱ texte ou avez-vous connu TFB ? ⊱ texte avez-vous pris un scénario ou un prédéfinis ? ⊱ texte possédez-vous d'autres comptes sur le forum ? ⊱ texte code du règlement ⊱ texte commentaires ⊱ texte
Enfant musulmane d'une partie de cinq frères, cela n'a jamais été très facile pour moi. Toujours à me surveiller et à contrôler mes faits et gestes. Contrôler mes tenues qui devait être en dessous du genou ou encore contrôler mes fréquentations Les questions ou tu sors, avec qui etc sont les mots que j'entends le plus de chez mes frères. Mes parents eux ne s'en préoccupe pas, ils me font confiance et c'est en étant jeune qu'on peut faire des erreurs. Ce soir c'est la même routine et ces questions m'insupporte. Comme toujours je lui réponds que ce n’est pas ses affaires, c'est pas mon père et qu'il a rien à me dire. On ressemblait à deux gamins. Je m'apprête à sortir lorsque je le vois, Issac. C'est le 3 ème mousquetaire de mes frères. J'ai toujours eu un faible pour lui , c'était pas grand-chose mais à son évocation ou sa vue mon cœur s'emballe , je ne lui ai presque jamais parlé , je le regarde toujours d'un air supérieur par peur de tombé dans le panneau car c'est un vrai fourreur de jupon et je n'ai jamais eu un très bon exemple concernant l'amour. Mes parents ne se supporte pas mais n'osaient franchir le pas du divorce considérer comme une honte. Je dévale les escaliers, j'avance dans le noir pour ouvrir la porte, mais je sens une grosse main qui me tient le bras, je me retourne, le vois Lui et pas un autre je n’ose pas lever le regard, son parfum m’enivre, mais je ne peux pas me le permettre non non .... Je n’ose toujours pas le regardais, mais faut bien que je lui fasse comprendre que ce n’est pas un homme qui va semer la tempête dans mon cœur. "Ouais tu veux quoi ?"
ISSAC - "Voir comment tu vas, tu sais faut pas lui en vouloir à ton frère, il essaye de prendre soin de toi puis il t’aime ton frère, tu es sa préférée …" le coupant dans son monologue, je lui lance un regard noir. SANA - " Attend attend, tu fais quoi là ?ce n’est pas la peine que tu me fasses ton discours là, mêles toi de ta vie bordel !" ISSAC - "C’est comme ça alors, on verra bien si tu vas faire la folle encore longtemps avec moi, je fais le gentil à venir te parler et toi tu me parle comme ça ? Non mais tu te prends pour qui ? Te sens pas pousser des ailes car c’est juste par pitié que je suis venu te voir !!"
Alors là, il m’a achevé bien comme il faut, je me sentis faible et méprisée, je n’assumais pas, oui la dernière chose que je voulais était de susciter la pitié des autres envers moi, je n’acceptais pas ça, la pitié pour moi renvoyait à la faiblesse, ou c’était une façon indirect de te dire que tu vaux rien dans la vie !
SANA - "La chambre à Youssef est au bout du couloir, garde ta pitié pour toi, j’en ai pas besoin !"
Il se dirigea vers les escaliers avec un sourire moqueur, sadique et me lança avant de monter.
ISSAC - "retiens bien ça, tu le regretteras un jour !"
Si j'aurais su ...
Aujourd'hui est mon anniversaire. J'avais décidé de le fêter dans une salle de fête, faire une petite soirée à danser qu'entre potes, amis et familles. Le soir J, la soirée battait son plein, je m'étais amusé comme une folle, je dansais avec mes frères comme une folle on s’amusait, je pense que c'était le meilleur moment que j'ai passé durant toute la soirée, rien ne pourra être égal à un tel moment avec mes frères, ces moments tellement rares et tellement beaux et riches en émotion. La soirée arrivait à terme, je m'éloignais pour rejoindre les toilettes, je sors, il devait être vers les 2h du mat’, les gens quittaient les lieux, mes frères et Jamie étaient déjà parti. Je les appelais aucune réponse , ils ont dû quitter sans moi me pensant rentrer avec Jamie , putain la galère alors , je me suis assise sur les marches , je voyais les gens partir , c'était ou des inconnus pour moi , ou des gens qui habitaient de l'autre côté de la ville, je réfléchissais à ce que je devais faire, j'étais seule ,la nuit , accoutrée , j'avais peur , puis je sens une main m’attrapai le bras , je me retourne je vois Issac les yeux pire que rouge , puant l'alcool à peine s'il pouvait tenir debout :
[b]ISSAC : Vas-y lève-toi je te dépose ! SANA: Ne me touche pas ! T'es sérieux toi à me toucher ? Puis dans un état pareil que le tien où tu veux me déposer ? À la morgue ?? ISSAC : Me les casse pas, et avance devant moi ! à moins que tu veuilles passez la nuit ici toute seule SANA: Mais t'es ivre putain ISSAC : Tu me prend pour qui ? J'ai l’habitude donc tu fermes ta putain de gueule et tu montes dans la voiture !
J'ai pas répliqué, je voulais pas passer la nuit ici, pourtant j'aurais dû. Je le suis, je monte, il se pose sur son siège, ferme les yeux un moment en penchant sa tête en arrière sur le dos du siège, il passe ses mains sur son visage, soupire et démarre, on roule, quand on arrive à quelques mètres de chez moi au lieu de continuer tout droit il tourne à droite, je comprenais plus rien à ce qu'il faisait. « On va où ? » Aucune réponse de sa part, j'insiste. « Tu t'es trompé de chemin , faut pas tourner par-là y a plus rien. »
ISSAC : Vas y ferme là, tu saoule à force de parler. Je vais te montrer un truc.
Prise de curiosité pour savoir de quoi s'agissait ce « truc » je me tais. On arrive à un parc qui donne sur l'autoroute, rien que la vue me donnait des frissons, il était vide de tout signe de vie. Il descend, fume un joint, en se posant sur le capot de sa voiture, je commençais à perdre patience. Une fois son joint fini, il ouvre ma portière, me tire férocement par le bras pour que je descende, mais ma pochette tombe sur le sol puisqu'elle était sur mes cuisse. Il puait l’alcool, il me traîne un peu plus au fond du parc me jette par terre. Je comprenais rien, j'entends sa braguette qui s'ouvre il me soulève et me dit :
ISSAC : Tu sais bien que quand les enfants font des bêtises ils doivent être puni ? SANA : O.uii... ISSAC : et généralement on leur donne la fessé hein
Qu’est-ce qu’il voulait dire par là ? Je comprenais rien, il était dans un autre état. Je voulais juste rentrer chez moi, au chaud et être dans mon lit.
ISSAC : Quand je te parle tu me réponds petite pute SANA : oui ISSAC : Seulement toi, enfant ingrat tu auras une fessée d'une autre façon.
Il me tira contre lui, il baladait ses mains, je le repoussait et lui me gifle de grosses gifles, à chaque fois que je lui repoussais les mains, j'avais mal, j'avais peur, il s'avançait vers moi, et moi je m'éloignais en marchant à reculons jusqu'à ce que je me colle au mur qui donne sur l'autoroute, j'avais plus aucune issue, je criais à l'aide, je criais pour qu'il me laisse, je le suppliais, j'encaissais les coups qui maintenant se faisaient de plus en plus nombreux, il m'arrache ma robe, elle tomba à terre je restais devant lui rien qu'en petite culotte. Je me cachais la poitrine avec mes bras, ce qui lui laissait libre champs à balader encore plus ses mains, je tombe à genoux pour l'empêcher de me toucher encore.
ISSAC : Laisse toi faire si tu ne veux pas avoir mal SANA: Mille fois la mort que de te laisser, lâche moi stp.
Son rire me fit froid dans le dos, mes larmes coulaient et j'avais peur de ce qu'il allait me faire.
SANA: Laisse-moi stp , je ferais tout ce que tu veux mais pas ça, Stp stp ISSAC : Tu fais moins la maligne maintenant, je t'avais dit que tu allais regretter , supplie moi autant que tu veux tu vas tout de même regretter, j'avais juré de te faire mal et tu verras, ce n'est encore rien , tu regretteras de hausser le ton avec moi et de me manquer de respect tu verras bien ... SANA : Mais j'ai mal , j'ai déjà mal laisse-moi stp , tu es pas comme ça stp.
Il répondit pas et s'allonge sur moi , je serais mes cuisses du mieux que je pouvais, je croisais mes jambes , mais il était fort je faisais pas le poids, il m'écarta mes jambes avec force, j'émets un cri strident pour montrait mon mal, je tremblais de peur et de froid , je pleurais , il déchira ma culotte et entrepris de me violer , je le frappais avec mes mains en pleurant et en criant , lui ne semblait pas être affecter par mes coups à chaque fois que je le poussais il revenait sur moi encore plus , j'avais mal , je sentais mon entre jambe en feu. Il faisait toujours ses affaires, il gémissait, lui prenait son plaisir alors que moi je mourrais presque de douleur, je criais et criais de plus en plus fort. Il finit son affaire et se lève me laissant à terre, mes paupières se faisaient lourdes, elles se refermaient toutes seules, je l'entendis me dire.
ISSAC : Je t'avais dit que même saoul je pouvais tout faire, tu es bonne dommage tu t'es pas laissé faire !
Et il partit, il me laissa là, affalée sur le sol alors que je l'entendais repartir vers sa voiture. La douleur me tuait, je ne pouvais résister, je me suis laissé aller ; j'ai fermé les yeux ...
Je me sens légère, je suis au milieu de nul part, je ne sens pas la moitié de mes organes, je me réveille, je referme les yeux aussitôt. La lumière blanche est éblouissante m'aveugle la vue. J’essaye d'ouvrir les yeux petit à petit pour que je m'habitue à cette luminosité trop forte à mon gout, j'essaye de me soulever un peu mais j'ai des courbatures partout, j'ai l'impression d'avoir dormis pour des siècles, je tente de savoir la raison pour laquelle je me trouve sur ce lit, dans cette chambre qui m'est inconnue mais mon cerveau ne fournissait pas le moindre effort pour savoir on aurait dit que tout mon organisme était mis sur pause, je ne me souvenais plus de rien, de personne. Je me met à fixer longuement la fenêtre , un jolie jardin bien entretenu , puis tout commence à revenir à la vue de ce jardin : mon passé, ma famille, mes amis, Jamie, ma vie et surtout mon viol, je commençais à pleurer d'abord silencieusement , puis avec quelques reniflements , puis j'explose , je cris de toute mes forces, les images me reviennent, je tremble , j'entends une porte claquer violemment contre un mur et je vois Jamie et une infirmière entraient en panique , ils essayaient de me calmer. Jamie me tient fermement les mains pour m'empêcher de me griffer, je cris de plus en plus fort et j’essaye que Jamie me lâche. L'infirmière sort une seringue et me l'injecte puis Trou noir. J’ouvre les yeux quelques heures plus tard, Jamie me regarde inquiète.
FLASHBACK
Mes paupières se font lourdes, je me sens partir, je me laisse aller mais ça va pas, mes larmes coulent toujours et je me surprends à autant pleurer, je n'arrive pas à bouger mes jambes la douleur atroce qui provient de mon entre jambe est bien plus forte et m'empêche de bouger des pieds. Je suis nue , j'ai froid, j'ai mal, je suis détruite, morte, je ne vaux plus rien, il faut que je m'en aille ici, chaque recoin de ce parc me rappel une image insupportable, je rampe difficilement avec mes mains jusqu'à l'entrée du parc, cadeau de dieu ma pochette est toujours là, je m'empresse de l'ouvrir je prends mon téléphone, je défile les contacts dans mon répertoire, tellement de personnes et peu qui servent. Je ne sais qui appeler : trop de fierté pour appeler mes frères, trop honte pour appeler qui que ce soit, je m'arrête sur Jamie, je compose le numéro , ça sonne , ça répond après quelques sonneries :
JAMIE : Ouais c'est qui là ? SANA - Viens me chercher stp ... JAMIE : Qu'est-ce que t'as ma chérie, il t'arrive quoi ? Tu es où ? SANA - Je … Je ... JAMIE : Qu'est-ce que t'as Sana ? Tu es où ? SANA - Dans le parc derrière l’autoroute JAMIE : C'est bon j’arrive ma puce, tiens bon et surtout ne coupe pas la ligne parle-moi et t’arrêtes surtout pas ok ? SANA - Jamie ... Tu .. pourrait pas stp .. m'app..orter quelques .. JAMIE : Tout ce que tu veux , quelques quoi ? SANA - Quelques ...... habits à mettre JAMIE : Noon , ne me dis pas que ? Ne me dis surtout pas que ? Non ...
Je laisse tomber le téléphone, à force de pleurer et tout ce que j'ai vécu cette nuit-là, on m'a épuisé toute mon énergie. Je me sens partir à nouveau, je me laisse aller en admirant l'aube au ciel.
FLASHBACK
JAMIE : Tu vas mieux ? J'ai cru te perdre je t'ai trouvé inconsciente ! Dis-moi c’est qui ?
Jamie a très vite su qui était mon violeur, elle n'avait pas cacher sa peine envers mon égard lorsque je lui avais raconter mes peines et tout ce qu'il m'avait fais subir. Elle avait toujours été là pour moi et me le prouver encore une fois, j'étais faible moralement et physiquement et un rien pouvait me faire pleurer mais Jamie restait à mes côtés. Il m'était impossible de dormir là nuit sans faire de cauchemar, mon monde s'était effondré d'un seul coup par cette douleur qui ne voulait cicatriser. Jamie restait chez moi, me réconfortais lorsque je me rêvais la nuit en hurlant. Cette nuit là, je n'arrivais pas à dormir et même si la présence de Jamie à côté de moi -entrain de ronfler- m’apaiser, mon esprit errait vers cette fameuse nuit. Je sombrais dans ce souvenir et je me retrouvais dans ce parc à terre, lui sur moi, la force qu'il pratiquait sur moi pour me maintenir, ses regards remplis de haine, de colère et de perversité. Le bruit de la sonnette lui fit sortir de ses pensées néfastes. Sachant éperdument qu'aucun de ses frères n'allaient bouger pour ouvrir, elle se leva péniblement de son lit pour y allait. Issac. Il était là, devant ma porte. Je me sens frémir de la tête au pied, mon sang n'en fit qu'un tour. Lui, il semblait calme, il me narguait presque. Je ne le voulais pas ici, je ne voulais plus le voir. C'était la dernière personne sur terre que je voulais voir ou entendre parler sur elle, je ne voulais pas qu'il m'approche. Je voulais faire en sorte qu'il sorte d'ici, qu'il s'envole à jamais de ma vie, je voulais le faire disparaître pour toujours comme par magie en un seul claquement des doigts, tout comme il avait fait pour me dérober mon bijou et ma vie. Tout c’était fait rapidement et sans y réfléchir plus que ça, je lui saute dessus frappant son torse. « JE TE HAIS ! COMMENT TU AS PU ME FAIRE ÇA ? » que je lui crie en le fixant continuant de taper son torse avec rage, les larmes coulaient sur mes joues. « COMMENT TU AS PU ME VIOLER ? » Mes points continuait à frapper son torse, je voulais qu'il souffre un minimum. Je voulais qu'il ressente un peu de culpabilité face à ce qu'il m'avait fais, je voulais le voir souffrir autant que moi et pourtant son sourire était toujours posé sur ses lèvres. Un sourire de victoire. Fier de me voir si faible, je continuais de lui hurler dessus, lui sortant toutes sortes vulgarités.Son visage se décomposa, il posa son regard noir sur moi mais par malchance Youssef, mon frère, était descendu de sa chambre surement à cause du bruit que j'avais causé. « QUOI ? Tu as violé ma petite soeur ? Tu as violé la petite soeur de pote ?» Je sentis mes pieds fléchir, j’avais peur. Peur de ce qui m’attendait, Issac baissait la tête je ne pouvais même pas voir son visage pour voir l’expression qui s’en dégageait, Jamie me regardait paniquée alors que mon frère saute sur Issac. Je le voyais subir les coups violents de mon frère s'en répliquer. Mon frère tout en le frappant il criait sa haine, sa douleur, sa déception, sa trahison, sa tristesse, sa rage. Je souriais à cette vue, à la vue de Issac qui souffrait, qui subissait les coups sans se défendre. Je me délectait de sa souffrance, je le voyais faiblir sous les coups de mon frère. Après un coup bien mérité dans ses bijoux de famille, mon frère nous a ordonné de rentrer dans le Salon et qu’on devait parler de ça. Main dans la main avec Jamie, je m'avançais au salon paniquait par le regard noir d'Issac.
ISSAC - « Mais crois moi mon frère, j’était vraiment pas dans mon état normal puis c’était elle qui m’a provoqué ! Elle a réussi à m’exciter et tu sais bien que ça se contrôle pas puis voilà ! »
Je voyais le visage de Jamie se transformer, s'en était trop. Rapidement, elle se retrouva devant lui pour lui affliger un gifle sous le regard désapprobateur de mes frères et d'Issac. Il essayait de tout mettre sur mon dos, de me rendre coupable de son actes.
YOUSSEF - « Combien de fois je lui ai dis à cette « PUTE » de s’habiller autrement mais elle en fait qu’à sa tête à exhiber ses jambes ! De toute façon, il va falloir assumer. La décision est prise et il va falloir vous marier et c’est indiscutable ! »
QUOI ?
Je reste là, allonger dans ce lit. J'essaie de me relever. Je mets toute mes forces sur mes jambes, je me met debout je pleure à chaque pas que j'essaie de faire mais mes jambes ne me répondent plus, la douleur est trop persistante, je panique, je m'imagine le pire. Je me calme et recommence en m'aidant du lit. J'y arrive je marche ou plutôt je me traîne jusque la salle de bain je me nettoie, la vue de mon visage défiguré ne me choque plus. C'est devenue mon nouveau moi. Le temps passe je reste assise de peur de me lever et de tomber. Il est sorti comme chaque soir, je sais qu'il rentrera ivre. Un sentiment de rage et d'incompréhension me saisissent, je n'ai pas choisie cette vie là mais ses mes frères qu'ils me l'ont imposés. Chaque soirs c'est la même routine, il me fait ses horreurs, il me viole. Difficile a dire et a comprendre mais oui, je me fait violée par mon mari . Je n'ai jamais était d'accord pour toute ces relations. Il me les imposent avec force ... J'aimerais tant que comme dans les films, mon prince vient et me sauve de ce donjon ou je suis prisonnière du dangereux et terrible dragon. Tel un chevalier sur son cheval blanc, il viendrait à mon secours et ensemble nous vivrons heureux et auront plusieurs enfant. Malheureusement, je ne suis pas dans un conte d'enfant et même si souvent, en étant jeune, je rêvais de prince charmant et d'amour mais ma vie est devenue à l'opposé de mes rêves. La porte claque et me réveille de mes songes, Issac mon mari est rentré. A sa vision j'ai commencer a paniquer, il me faisait peur.
ISSAC - "Va me préparer à bouffer !"
J'avais alors sursauté, cette voix qui hantait chacun de ses cauchemars et mes lèvres s’étaient mises à trembler, de même que mon visage de poupée s’était fait blanc de porcelaine… Mais mon regard éteint était resté fixé le sol sans oser remonter jusqu’à mon bourreau.
SANA - "Je ... Je ne peux pas me lever" d'un murmure j'avais osé lui avouait qu'il m'était impossible de me lever mon regard demeurait fixement tourné vers le sol, soumise, faible, fragile. Je ne voulais pas le voir, je ne voulais pas voir ses traits ce changer en un rictus de colère. Mais ses mains attrapa mes cheveux, en trois pas il avait traversé le salon et était arrivé jusqu'à moi. Les larmes venant osciller dans mon regard si doux et si parfait. Je n’en pouvais déjà plus, je ne désirais qu’une chose : qu’il me laisse partir maintenant, qu’il ne revienne pas vers moi, qu’il aille voir ces filles faciles qui se bousculaient devant la porte de sa chambre et qu’il ne vienne plus l’importuner. Sa poigne saisit une poignée de cheveux et il me tirait vers la salle de bain, mes cris raisonnaient dans la maison et je lui suppliais de me laisser. Je le suppliais et me rabaisser, lui demandait pitié et que j'étais désolé, que je n'aurais jamais dû répondre. Jamais. Mais il ne m'écoutait pas, la rage et la colère s'était emparé de lui, comme toujours que je ne l'écoutais pas. Après tout c'était de ma faute, je n'aurais jamais dû lui répondre. Il trouvait toujours un moyen de me faire flanchée et de me rabaisser à me détester. Je continuais à hurler mais mes cris se noya dans l'eau glacée. Ma tête s'enfonça dans la baignoire remplie d'eau froide et s'écrasa contre le fond. Paniquée, je tentais de me débattre mais je n'avais aucune chance. Je ne réussie pas à me libérer de la main de fer d'Issac qui me tenait en étau.
ISSAC - "SALOPE"
J'entendais à peine les mots qu'il me criait. Je vais mourir. Je vais me noyer dans ma salle de bain. Mes poumons menaçaient d'éclater. De l'eau me descendait dans la gorge. Je suffoquais. Mes yeux me sortaient des orbites. Toutes pensée m'abandonna. Seul demeura un instinct primitif : l'instinct de survie. Comme tout mammifère coincé dans l'eau, je me retrouvais incapable de respirer. J'avais beau gigoter, ruer, sa main me maintenait la tête en bas, m’écrasant le nez contre la porcelaine. Je voyais mon propre sang se mélanger à l'eau. Ma gorge me brulait. Mes yeux se révulsèrent. La mort. La noyade. Mais mon assaillant me ressortit de l'eau, relâchant ma tête tel un objet inanimé. Mon crâne se heurta sur le bord de la baignoire avant d'atterrir sur le carrelage mais je m'en rendais à peine compte. J'haletais et me convulsais, la main autour de la gorge, dans une veine tentative pour atténuer la douleur. Je roulais par terre, essayant désespérément d'apporter de l'oxygène à mes poumons douloureux. Puis il me saisit de nouveau par les cheveux.
SANA - "Non s'il te plais"
Ma tête fût projetée vers le bord de la baignoire : mon visage plongea et s'arrêta à un centimètre de l'eau.
SANA - "S'il te plais, je suis désolé"
Je sentais Issac, mon bourreau et agresseur, se baisser vers moi sans relâcher sa prise. Son haleine chaude me picota l'oreille et le cou.
ISSAC - "Si tu me réponds encore une seule fois, je te tue."
Dernière édition par Sana Weston le Jeu 3 Jan - 0:42, édité 1 fois
A DROP IN THE OCEAN ⊱ your deepest fear : ⊱ family portrait : ⊱ to do list :
Sujet: Re: « Alors on a choisi la pluie... acide à s'en brûler le coeur » - S. Jeu 3 Jan - 0:26
Une deuxième KRISTEN qui n'est autre que ma Rim d'amour J'ai hâte de voir ce personnage très prometteur je sais que tu vas me faire une merveille encore (Re) Bienvenue ma belle
Sana Weston
✤ Lettres écrites : 16 ✤ Pseudo : Kristen Stewart ✤ Credits : bazzart
Sujet: Re: « Alors on a choisi la pluie... acide à s'en brûler le coeur » - S. Jeu 3 Jan - 0:28
Chaton Et oui, c'est bientôt les soldes deux Kristen pour le prix d'une (a). Merci ma belle, j'espère que son histoire tordu te plairas (:
Invité Invité
Sujet: Re: « Alors on a choisi la pluie... acide à s'en brûler le coeur » - S. Jeu 3 Jan - 0:29
Ma rimmmmmmmmmmmmmmmmm + Kristen + Sana ouais je suis fière de t'avoir aidé à concocter ce scénario il va géré surtout avec notre lien
Sana Weston
✤ Lettres écrites : 16 ✤ Pseudo : Kristen Stewart ✤ Credits : bazzart
Sujet: Re: « Alors on a choisi la pluie... acide à s'en brûler le coeur » - S. Jeu 3 Jan - 0:38
ASHCHOUUUU BLADE C'est claiiiir il va gérer surtout que j'aime trop notre lien. Pis merci pour m'avoir aider ma belle, je t'aime trop
Invité Invité
Sujet: Re: « Alors on a choisi la pluie... acide à s'en brûler le coeur » - S. Jeu 3 Jan - 8:22
Moi j'ai hate de lire ton premier personnage féminin depuis des lustres !!!! Et puis ton titre est génial !!
Invité Invité
Sujet: Re: « Alors on a choisi la pluie... acide à s'en brûler le coeur » - S. Jeu 3 Jan - 9:22
Riiiiiiiiim Avec KRISTEN qui plus est ! Re bienvenue parmi nous ma belle, j'ai hâte de voir ce que tu nous a concocté
Invité Invité
Sujet: Re: « Alors on a choisi la pluie... acide à s'en brûler le coeur » - S. Jeu 3 Jan - 11:48
A DROP IN THE OCEAN ⊱ your deepest fear : ➽ quels sont vos plus grandes peurs et/ou craintes ⊱ family portrait : ⊱ to do list :
Sujet: Re: « Alors on a choisi la pluie... acide à s'en brûler le coeur » - S. Jeu 3 Jan - 17:40
RIM + LE PRENOM + KRISTEN Que demandez de plus ?! Il me tarde vraiment de découvrir ton nouveau personnage enfin bref (Re) Bienvenue ma belle
Invité Invité
Sujet: Re: « Alors on a choisi la pluie... acide à s'en brûler le coeur » - S. Ven 4 Jan - 20:42
ça exprime tout ce que je pense déjà
Nathanaël Aith
✤ Lettres écrites : 16 ✤ Pseudo : Jonathan Rhys Meyers ✤ Célébrité : Célibataire.✤ Credits : Axelle
A DROP IN THE OCEAN ⊱ your deepest fear : ➽ quels sont vos plus grandes peurs et/ou craintes ⊱ family portrait : ⊱ to do list :
Sujet: Re: « Alors on a choisi la pluie... acide à s'en brûler le coeur » - S. Dim 10 Mar - 19:51
J'adore *-*
Jamie Monroe
✤ Lettres écrites : 14 ✤ Pseudo : Alexis Bledel ✤ Célébrité : Célibataire bien que son coeur soit prit depuis fort longtemps déjà✤ Credits : shattered + tumblr
A DROP IN THE OCEAN ⊱ your deepest fear : ➽ quels sont vos plus grandes peurs et/ou craintes ⊱ family portrait : ⊱ to do list :
Sujet: Re: « Alors on a choisi la pluie... acide à s'en brûler le coeur » - S. Lun 11 Mar - 10:01
Accueil 
nom ⊱ Weston prénoms ⊱ Sana date de naissance et âge ⊱ 21 juin 1988 lieu de naissance ⊱ Seattle nationalité ⊱ Américaine origine(s) ⊱ marocaine statut et orientation sexuelle ⊱ Mariée et hétérosexuelle situation sociale ⊱ elle n'est pas à plaindre de ce côté là emploi et/ou études ⊱ femme au foyer traits de caractère ⊱ (en quelques mots) quand on me voit la première fois, on pense que je suis forte, sûre de moi et toujours souriante. ce n'est qu'une image que je me donne, une sorte de carapace que je me suis faite. c'est vrai que je suis impulsive, franche, rancunière, sportive, protectrice. mais si on va au-delà de ça, si on creuse un peu, je suis sensible, fragile et je manque légèrement de confiance en moi. signe particuliers ⊱ à part les bleue sur son corps aucun. 
célébrité ⊱ texte pseudo/prénom et âge ⊱ texte groupe ⊱ 
Aujourd'hui est mon anniversaire. J'avais décidé de le fêter dans une salle de fête, faire une petite soirée à danser qu'entre potes, amis et familles. Le soir J, la soirée battait son plein, je m'étais amusé comme une folle, je dansais avec mes frères comme une folle on s’amusait, je pense que c'était le meilleur moment que j'ai passé durant toute la soirée, rien ne pourra être égal à un tel moment avec mes frères, ces moments tellement rares et tellement beaux et riches en émotion. La soirée arrivait à terme, je m'éloignais pour rejoindre les toilettes, je sors, il devait être vers les 2h du mat’, les gens quittaient les lieux, mes frères et Jamie étaient déjà parti. Je les appelais aucune réponse , ils ont dû quitter sans moi me pensant rentrer avec Jamie , putain la galère alors , je me suis assise sur les marches , je voyais les gens partir , c'était ou des inconnus pour moi , ou des gens qui habitaient de l'autre côté de la ville, je réfléchissais à ce que je devais faire, j'étais seule ,la nuit , accoutrée , j'avais peur , puis je sens une main m’attrapai le bras , je me retourne je vois Issac les yeux pire que rouge , puant l'alcool à peine s'il pouvait tenir debout : 
Je me sens légère, je suis au milieu de nul part, je ne sens pas la moitié de mes organes, je me réveille, je referme les yeux aussitôt. La lumière blanche est éblouissante m'aveugle la vue. J’essaye d'ouvrir les yeux petit à petit pour que je m'habitue à cette luminosité trop forte à mon gout, j'essaye de me soulever un peu mais j'ai des courbatures partout, j'ai l'impression d'avoir dormis pour des siècles, je tente de savoir la raison pour laquelle je me trouve sur ce lit, dans cette chambre qui m'est inconnue mais mon cerveau ne fournissait pas le moindre effort pour savoir on aurait dit que tout mon organisme était mis sur pause, je ne me souvenais plus de rien, de personne. 
